tag:blogger.com,1999:blog-51665802788841473132024-03-13T15:09:57.603-07:00L'histoire à l'ère du numériqueChristian Henriothttp://www.blogger.com/profile/16591188987037275968noreply@blogger.comBlogger21125tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-34186021551869946522014-10-01T04:43:00.002-07:002014-10-01T04:44:26.078-07:00Séminaire 2014-2015Cet enseignement ne sera pas dispensé au 2014-2015.Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-50469808106177488142014-01-31T11:47:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.017-07:00L'histoire numérique : révolution ou évolution de la discipline ? <style type="text/css">P { margin-bottom: 0.21cm; }A:link { }</style> <br /><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> L'histoire à l'ère numérique est une nouvelle version de la pratique historienne. Les nouvelles technologies de l'informations et de la communication (TIC) sont au cœur du sujet à travers leurs fonctionnements, utilisations et évolutions. Tout au long de ce billet, j'essayerai de donner mon point de vue que les thématiques que nous avons pu étudié lors de nos séances, notamment en m'interrogeant dans quelles mesures internet révolutionne-t-il l'accès à l'information ? <span style="font-weight: normal;">Comment l’historien du XXI exploite t'il celle-ci ? Ou encore, comment se confronte-t-il vis à vis des TIC ? </span></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><b>Internet révolutionne-t-il l'accès à l'information ? Comment l’historien du XXI exploite t'il celle-ci ?</b></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> A partir des années 80, l'accès, la diffusion et la création de l'information est révolutionné par l'Internet. Pour reprendre la pensée Vannevar Bush, conseiller scientifique du président Roosevelt et chercheur au MIT, l'information c'est comme la science : elle évolue. C'est une progression et celle-ci se fait en même temps que ses moyen de diffusions : du livre à l'internet en passant par la télévision et la photographie. Dans nos sociétés on peut constater que l'accès à l'information n'est plus un problème, en revanche ce qui ce le devient c'est en l’occurrence cette facilité d'accès : quelles en sont les limites et les contraintes dans le cadre d'une production scientifique ?</span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> L'accès est facilité de nos jours certes, mais en ce qui concerne la numérisation des sources antérieure à la période contemporaine, l'accès reste difficile et chaotique. En effet en 1956, Alain Resnais à travers sa réalisation « <i>Toute la mémoire du monde </i>», introduit la nécessité de trouver de nouveaux moyens de stockage et à la fois diffuser l'information. Le reportage met en évidence le côté massif et quantitatif des livres, manuscrits etc.. qui composent la BNF. Il compare les lieux d'entrepôts à une forteresse. Il est estimé qu'en un siècle, on collecte plus de 3 millions d'ouvrages. De plus que la numérisation des sources a également un double enjeu, en effet, celui d'immortaliser des documents amener à se détériorer de par leurs compositions.</span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> Dès les années 60, les historiens veulent donner un nouvel aspect à leur profession par l'utilisation des ordinateurs. William G.Thomas explique dans son article comment l'ordinateur a affecté la discipline mais aussi son enseignement. Le traitement de données devient plus quantitatif mais aussi plus rapide. Une seconde révoltion s'est faite avec Internet, cette fois ce n'est pas la productivité qui est marquante mais la rapidité et l'accès à la diffusion de l'information à travers les hypertextes comme cela est illustré dans les vidéos :<i> The Machine is Us/ing Us, Information R/evolution</i>. </span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> Internet est un usage commun de nos jours mais il a fallut aux scientifiques un temps d'adaptation. Une raison qui peut expliquer la prise de conscience tardive de diffuser les documents sous format numérique. </span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> Cependant, William G.Thomas, soulignent qu'il n'y a pas eu un consensus commun de la part de tout les historiens, pour certains le numérique représente une sur-quantité d'informations et par conséquent que ces dernières soient biaisées.</span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> En effet, l'information est devenue incontrôlable. Chacun peut se prétendre être un historien publique qui sans formation ne possède pas la vision objective du scientifique. Différentes plateformes, comme Wikipedia ont vu le jour. Le contenu est enrichi bénévolement par les membres inscrits. Une question se pose alors : devons-nous prendre en considération ces informations ? </span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> Il n'est pas aisé de répondre non à cette question. En effet, ces données sont basées sur des sources, des travaux antérieurs et parfois réalisés par des étudiants. Bien que la question de la légitimité des ces plateformes est nécessaire, elle n'est pas prioritaire. </span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> L'accès à l'information évolue, elle devient payante en ligne. Alors que les sites internet privés peuvent se financer à travers des publicités et rendent gratuit l'accès, le contenu scientifique reste exhaustif jusqu'à ce qu'un lecteur décide d'en reprendre les données et de les exporter vers une plateforme en ligne accessible à tous.</span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><b>Confrontations des historiens aux TIC (technologies de l'information et de la communication)</b></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> On est amené à se demander s'il on recherche l'information ou la connaissance (comme dans un programme scolaire). C'est une problématique que se pose Thomas Mann dans "<i>The Peloponnesian War and the Future of Reference, Cataloguing, and Scholarship in Research Libraries</i>".</span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> C'est ici qu'intervient le questionnement, la critique et le défi de la pratique de l'historien vis à vis du désenclavement et de la démocratisation de l'histoire scientifique.</span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> L'histoire numérique se défini comme une nouvelle démarche pour examiner et représenter le passé a travers les nouvelles technologies de l'information et de la communication. Nous sommes dans une phase transitoire où deux générations d'historiens co-existe au point de remettre en considération les méthodes actuelles. Claire Lemercier, historienne économique réputée, nous témoigne que depuis ses études à aujourd'hui que ses méthodes de travail ont changés. Elle estime que Zotero est de nos jours une « révolution » mais l'outil va bientôt fêter sa première décennie. De plus, dans son <a href="http://www.studistorici.com/wp-content/uploads/2012/06/01_GRANDI-RUIZ_numero_10.pdf">interview</a>le choc entre les deux générations est évident car elle parle d'une vague d'historiens « geeks » en devenir. Non, un geek est un passionné des nouvelles technologies et du multimédia, cela n'inclus le fait de savoir se servir des nouvelles technologies d'informations et de communication. </span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> Il ne s'agit pas d'une révolution, mais plutôt d'un nouveau genre de pratique scientifique. Avec la vulgarisation de la discipline, il est difficile pour l'historien numérique de valoriser ses travaux en ligne sur le plan de la légitimité mais encore de les protéger. </span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> L'histoire numérique doit être vu comme un changement : les barrières tombent il n'y a plus de propriété du savoir, la confusion entre mémoire et histoire s'accentue. L'historien perd sa position d'autorité unique. </span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> Il y a une évolution des modes de communications entre chercheurs, au de là des emails, il existe des forums en ligne. C'est un outil qui permet de poser des questions de manières asynchrones, ce qui rend possible de les résoudre à travers un collectif de personnes. Les forums disposent eux-même d'outils de recherche permettant de trouver des informations par mots-clés et contourner ainsi de contourner les offres commerciales des moteurs de recherche comme google. </span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> Il se pose aussi la question de authenticité des documents car d'une version à une autre, ils ont pu être altéré ce qui nécessite une veille scientifique plus minutieuse. Comment rechercher l'information ? </span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"> Il y a une part de découverte, on commence avec une numérisation de masse (par exemple le projet « <i>googling the victorian </i>») et ensuite on utilise un moteur de recherche pour trouver l'information via internet. Il faut garder à l'esprit que l'on risque de s'affranchir un texte, un ouvrage et de lire par échantillon. La veille scientifique se passe alors bien plus devant un écran que devant un livre. On change de support. Néanmoins, une part de pénombre existe, en effet, il est aujourd'hui impossible de tout numériser : la principale raison en étant le coût. <span style="font-style: normal;"><a href="http://www.persee.fr/">Persée</a>, revue scientifique numérisée, dispose à la fois d'un vaste contenu mais en même temps limité : droits de publication pour la période contemporaine par exemple. </span></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><span style="font-style: normal;"> Pour Patrick Leary, consulter une source numérique signifie s'intéresser à son degré de profondeur dans une logique de lecture booléenne ou une autre. Pour les néophytes, c'est à dire qu'il ne faut se familiariser avec le sujet, par exemple, on trouve des résultats différents pour les mots corsaires et négociant-armateurs qui sont pourtant un sujet commun. Il arrive que la recherche par mots clés ne soient pas pertinente en raison des différentes forment de la recherche qui peut être trompeuse. </span></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><span style="font-style: normal;"> Pour Thomas Mann, les moteurs de recherche ne sont pas conçus pour faire de la « recherche de la connaissance » mais de trouver un objectif. À</span><span style="font-size: small;"><span style="font-style: normal;"><span style="font-weight: normal;">partir d'un sujet, on peut obtenir plusieurs résultats distincts basés sur l'indexation, la probabilité et la récurrence du sujet dans une pages : une quantité importante d'informations et rapide : 26 secondes en moyennes pour 1 million de résultats. Comment traite-t-on une information comme celle la ? Qui nous dit que la bonne information est au haut de la liste des choix et non en milieu de page ? Le moteur trouve ce qui est lié : notion de lien et de contexte. Il y a néanmoins une alternative avec ces outils on peut interagir manuellement avec les choix proposés afin d'affiner nous même la recherche.</span></span></span></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><span style="font-style: normal;"> De nos jours nous sommes confrontés à un flux massif de l'information et cette surcharge conduit à l'étouffement, un manque de prise de distance et lecture en profondeur. Des essais sont en cours afin d'adapter les moteurs de recherche aux métiers des historiens comme Isidore : moteur de recherche français pour les sciences sociales le but étant de trouver une information plus pertinente que en quantité. Ou encore H-BOT qui répond aux questions simples qui lui sont demandées mais il a des limites : il ne peut répondre aux questions avec « qui est-ce qui? ». Ce dernier est basé sur une méthode d’échantillonnage. </span></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><span style="font-style: normal;"> Nous avons parler de l'utilisation des données et de l'accès à l'information mais quant-est-il des droits d'auteur ? Pour Roy Rosenzweig, historien à la fois utilisateur et producteur, qui est confronter à cette question, il n'y a pas de protection même du contenu scientifique car le </span><i>fair use</i><span style="font-style: normal;">des américains (utilisation de cherche dans le but de faire avancer les siennes par exemple), n'existe pas en droit européen.</span></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><span style="font-style: normal;"> </span></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><span style="font-style: normal;"> Pouvons-nous faire de l'histoire sérieusement sur Internet ? Pour Carl Smith, c'est possible à condition d'être reconnu par ses pairs, de disposer d'une argumentation clair avec un travail original qui est à la fois responsable et basé sur une historiographie pertinente. A l'inverse pour Edward L. Ayers, il faut que cette production scientifique soit encadré. Encore une fois, il y a pas de consensus des historiens sur la question.</span></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div><div align="JUSTIFY" lang="fr-FR" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><span style="font-style: normal;"> Pour conclure, l'Histoire en tant que discipline scientifique ne sera jamais une science fondée sur les moteurs de recherches mais ceux-ci en sont dès aujourd'hui un usage systématique. Néanmoins, ce ne sont pas tous les historiens qui sont prêts à s'intéresser aux outils moderne qui pourraient facilité leurs travail de recherche, principalement basé sur des apriori ou encore par un purisme du papier et du crayon. Aujourd'hui, il faut attendre que la nouvelle génération d'historien fasse preuve des nouvelles méthodes et nouveaux outils afin que ceux ci soient généralisés. Par conséquent on peut supposer que d'ici une décennie, le numérique aura fait progresser la recherche scientifique en histoire.</span></span></div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-62781638082093344492014-01-31T09:37:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.035-07:00L’historien face au numérique : d’une découverte progressive à une adaptation nécessaire et utile (Bilan final)<!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--> <br /><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Depuis quelques années et le développement d’internet, les technologies numériques sont de plus en plus utilisées (y compris bien sûr par moi) dans le cadre d’une recherche scientifique quelle soit historique ou non. En effet, depuis un vingtaine d’années, les acteurs sociaux produisent de plus en plus d’informations numériques. Créant ainsi un environnement numérique de plus en plus important : les « digital humanities ». Bien que j’utilisais déjà un peu l’informatique et les technologies numériques dans ma propre recherche scientifique, ce séminaire m’a permis de mieux comprendre l’utilité et les enjeux liés à cette utilisation.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>La question du numérique est quand même assez complexe et met en place plusieurs enjeux que nous avons vus, explorés et discutés tout au long du séminaire. </div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Il y a évidemment l’interrogation de la préservation et de la conservation qui est un véritable enjeu, de l’avenir physique des bibliothèques, de l’espace. Comment traiter physiquement le papier grâce au numérique ? Comment mieux trouver l’information. </div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Développement d’un accès de plus en plus libre à l’information par le numérique mais qui peut se révéler être en quelque sorte une illusion. En effet, cet accès libre entraîne des inégalités avec notamment une plus importante gratuité pour les étudiants que pour le grand public.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">On peut aussi donc simplement se demander : pourquoi et à quoi sert vraiment le numérique ?</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le numérique peut notamment nous permettre de découvrir, de trouver des informations auxquelles on n’aurait certainement pas pensé sans. Également, grâce au numérique, le chercheur se retrouve moins isolé et moins passif. Développement plus important d’un travail collaboratif (à deux ou à plusieurs). La communication devient de plus en plus multimodale avec les réseaux sociaux et cela est progressivement intégré au processus de recherche.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Tout cela entraine une sorte de démocratisation voir de désenclavement de l’histoire avec une participation plus importante de l’historien qui devient acteur. Cependant, il faut faire très attention aux risques de noyade dans l’immensité de l’information numérique.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">D’autres questions sont soulevées sur le fait notamment de savoir si le numérique est un simple genre ou une vraie révolution.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">On voit, en tout cas, de plus en plus de relations entre les trois acteurs principaux au cœur de la question du numérique. Les historiens se mettent maintenant directement à créer des informations numériques. Les bibliothèques également qui détiennent la documentation analogique veulent mettre en place des politiques de numérisation. Enfin un dernier acteur qui peut éventuellement être le public (exemple de la bibliothèque du Congrès qui numérise tous les tweets). <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">La notion de support pour la conservation est aussi essentielle car les documents numériques ont besoin de serveurs qui ne sont bien sûr pas gratuits. On peut dire aussi que potentiellement il est possible de tout conserver et de tout numériser</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">On peut évoquer aussi la manière nouvelle dont on cherche l’information numérique (moteurs de recherche, recherche pertinente par mots-clés). Nécessité de faire attention au caractère massif des articles et des ressources que l’on peut trouver en ligne. Mais également, dans un dernier temps, on constate la question des documents en Open source et des nombreux débats autour des droits d’auteur et du Copyright pour protéger le travail d’un individu et sa propriété intellectuelle. Mais aussi, et c’est un autre problème qui est quand même lié, la volonté pour les sociétés commerciales de garder un certain monopole. L’historien devient ainsi un utilisateur de cela tout en étant également un producteur. </div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Tous ces questionnements et ces argumentations sont à prendre en compte lorsque que l’on s’intéresse aux humanités numériques et c’est ce que je suis parvenu à assimiler tout au long du séminaire.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>De son coté, le mode de fonctionnement du séminaire s’est révélé pour moi très intéressant avec la création de son propre blog pour faire partager son travail et ses billets à un grand nombre de personnes en plus des participants à ce séminaire. Il était possible également par ce biais de suivre les publications et les travaux des autres participants pour s’en inspirer, les critiquer ou pour se placer intellectuellement en rapport à eux. J’avais déjà utilisé et publier sur un blog de ce style mais je n’avais encore jamais crée et alimenté mon propre blog. J’ai trouvé assez intéressant voir amusant de mettre en place le blog dont on a envie que ce soit au niveau du design (couleur, organisation générale, disposition et agencement des signets) mais aussi au niveau des publications. Des publications certes en rapport au séminaire, à l’histoire numérique et aux outils liés mais qui permettait je trouve une assez grande liberté de manœuvre. </div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">On peut également évoquer la mise en place d’un travail encore plus collaboratif avec un compte Twitter. Ceci a été adopté pour informer ceux qui nous suivent de nos publications ainsi que pour faire partager les sites ou encore les publications extérieurs que l’on a trouvé et qui peuvent se révéler utiles. L’utilisation du Hashtag (Histnum) a rendu plus facile l’accès aux tweets en les affichant directement sur le blog du séminaire ce qui évite de se rendre à chaque fois sur Twitter pour consulter les tweets en rapport avec ce cours.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>L’autre grand apport de ce séminaire, qui fut dans l’ensemble assez nouveau et indispensable pour moi, est la découverte de tous ces outils en ligne.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le test de ces nombreux outils a permis d’abord évidemment de les découvrir alors que pour la plupart d’entre eux je ne les connaissait pas. Une fois cette découverte effectuée, il était ainsi possible de constater ceux qui pour nous se révèlent les plus pertinents ou intéressants mais surtout ceux qui nous paraissent les plus adaptés et que l’on peut s’approprier dans notre propre recherche.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Je ne vais pas dans ce billet revenir sur tous les outils découverts, testés, utilisés mais je vais cependant ressortir quelques outils intéressants et qui sont essentiels à mes yeux.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Dans un premier temps, les outils de gestion bibliographique sont ceux qui ont retenus le plus mon attention et qui sont pour moi les plus utiles dans la recherche scientifique.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Au cours du séminaire, j’ai utilisé et mis en avant le site Librarything. C’est une sorte de réseau social et d’outil pour cataloguer des livres. On peut y créer son propre catalogue avec les livres pouvant nous intéresser, qu’on a consulté ou que l’on a lu. On peut mettre en commun son catalogue en ligne pour communiquer avec d’autres utilisateurs par différents moyens. On peut rechercher des livres par titres, par auteurs ou encore par mots-clés. On gère ensuite sa bibliothèque tout en consultant éventuellement les critiques sur les livres. Cependant un site qui est limité car il ne gère que les livres donc je pense qu’il est utile également d’utiliser en plus Zotero. Ce dernier est un logiciel plus complet car l’on peut ajouter n’importe quel type de document en cliquant sur l’icône à coté de son adresse. Il est aussi possible de lier les ouvrages entre eux ou encore de prendre des notes sur ces livres. D’autres fonctionnalités utiles comme transformer une référence bibliographique dans le format souhaité et ajouter une note en tant que référence. Mais aussi bien sûr mettre en place un travail plus collaboratif avec la création de groupe pour partager des références bibliographiques. Possibilité également de travail hors ligne en installant l’application Zotero. </div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Il y a d’autres outils que j’ai plus particulièrement explorés et dont on peut rapidement parlé. Notamment le site de partage et d’annotation sur le Web : Delicious. C’est donc principalement un service gratuit dans le but de sauvegarder puis de partager des liens (grâce à son URL) ou des marque-pages internet qui nous intéressent sur le web et que l’on veut facilement retrouver. Il offre également <span class="hps">la possibilité de</span> <span class="hps">constituer une collection</span><span class="hps">de liens et à créer</span> <span class="hps">son</span> <span class="hps">propre</span> <span class="hps">moteur de recherche</span> <span class="hps">personnel.</span> L’organisation des liens permet de les trouver rapidement lors d’une recherche. On peut aussi citer les logiciels pour trier l’information comme TagCrowd, les outils de Mind-mapping (bubbl.us, the Brain, XMind…) et les sites Web historiques sur le principe d’hypertexte consultés (entre autres : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Los Angeles and the Problem of Urban Historical Knowledge</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hypertext History: Our Online American History Textbook</i> ou encore <i>History Wired: A Few of Our Favorite Things</i><span style="mso-bidi-font-style: italic;">).</span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="mso-bidi-font-style: italic;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>L’analyse et surtout la progressive utilisation des ces outils ont pas mal changé ma manière de fonctionner et de mener ma recherche. J’utilise encore du papier pour prendre des notes notamment lors des cours, je consulte des ouvrages et sources physiques. Cependant, j’ai de plus en plus tendance à rechercher les références numériques ou alors de numérisés certains documents papier pour les avoir disponibles sur mon ordinateur. Également lorsque je prends des notes sur les livres, les sources ou les archives que je consulte ; je prends des notes ou y ajoute des commentaires directement sur mon ordinateur.</span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="mso-bidi-font-style: italic;">Je pense aussi par ailleurs que le numérique rend la recherche plus ludique, plus claire et quand même plus facile. A la condition évidemment d’utiliser une méthode de recherche appropriée pour ne pas se perdre dans la masse d’informations numérique et d’outils disponibles sur le Web. </span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="mso-bidi-font-style: italic;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>En guise de conclusion, je pense faire parti des historiens qui utilise beaucoup internet et les humanités numériques dans leur vie au quotidien car ayant commencé plutôt jeune mais encore assez peu dans leur recherche scientifique et historique. En effet, j’utilise encore des méthodes analogiques et des versions papier. Cependant, je pense que cela va progressivement de plus en plus s’estomper. Je pense être encore dans une importante phase de découverte et d’appropriation de ces techniques tout en commençant à m’adapter à certains mécanismes et outils du numérique. J’espère bien sûr ne pas me perdre dans cette utilisation importante du numérique grâce aux clés de lecture et aux analyses développées au cours du séminaire.</span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="mso-bidi-font-style: italic;">Enfin comme l’évoque Donald Schon, je pense être en train (en quelque sorte) de mener une expérience ou une expérimentation pour découvrir, comprendre, utiliser et s’approprier les techniques mais aussi le fonctionnement du monde du numérique.</span></div><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]-->Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-46326267883537981822014-01-27T01:35:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.050-07:00L’historien et le numérique : de l’appropriation à la nécessaire adaptation (billet final)<div style="text-align: justify;">Bien que l’utilisation des outils numériques s’inscrive de plus en plus naturellement, presque de manière instinctive, dans l’élaboration et la construction de nos travaux, on oublie souvent de s’interroger sur ce que cette appropriation implique dans le cheminement même de notre réflexion. Surtout, et je parlerai ici en mon nom, une tendance au confort et à la paresse de l’acquis s’installant très vite, toute tentative de découverte de nouveaux outils se trouve peu à peu inhibée au point de ne finir par se contenter que de manipulations sommaires. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Ce séminaire a eu le mérite de briser cette forme de nonchalance intellectuelle en forçant à considérer sous un angle réflexif des mutations auxquelles on ne prête presque plus attention tant elles sont ancrées dans notre quotidien. Evoluant sans cesse entre la pratique numérique en général et notre usage particulier, nos discussions ont permis d’en révéler les bouleversements méthodologiques concrets. Grâce à la recrudescence des données que l’on peut trouver sur Internet, les étapes de recherche, de collecte, de tri et d’exploitation de l’information historique ont considérablement été accélérées et enrichies. Le nouvel enjeu pour l’historien n’est pas tant de trouver des sources mais plutôt d’apprendre à les hiérarchiser dans le flux massif et continu auquel il se trouve confronté. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">La rapide évolution et la multiplication des outils mis à notre disposition obligent également à mener une veille scientifique permanente. Grâce au séminaire qui constitue une sorte de "veille scientifique accélérée", nous avons été amenés à tester l’usage de quelques outils dont certains sont devenus de véritables compagnons de route. Je pense en particulier au logiciel Diigo qui permet d’avoir une prise de notes efficace et ordonnée sur Internet. Un autre outil, découvert peu avant le séminaire, s’est avéré d’une aide assez inattendue. Il s’agit de l’application Evernote dont l’usage a priori assez basique repose sur une prise de notes hiérarchisée et synchronisée sur un serveur, de manière à conserver ses informations et les retrouver sur différents appareils. D’abord un peu dubitative, j’ai commencé à y ajouter les différentes prises de notes antérieures liées à ma thèse. Ce faisant, une thématique en appelant une autre, le regroupement de ces notes éparses m’a conduite à en rechercher et en retrouver certaines dont j’avais même oublié l’existence ! Ainsi, j’ai pu réaliser à quel point une simple application pouvait non seulement faire gagner un temps précieux mais en plus aider à avancer dans sa propre réflexion grâce au rapprochement facilité (notamment par le système des « étiquettes ») entre différents documents. Cet exemple montre à quel point Internet et certains outils numériques peuvent constituer des supports heuristiques susceptibles de faire avancer l’analyse historique vers d’autres directions que celles auxquelles on pouvait s’attendre. Mais ce ne sont là que des atouts minimes dans la palette de ce qu’il nous est permis d’entreprendre. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Outre cet aspect méthodologique, l’une des facettes primordiales que l’historien tend de plus en plus à s’approprier est celle de la communication numérique. J’avais pu le constater avant même de suivre le séminaire à travers la création d’un blog destiné à servir de carnet de thèse pour communiquer sur mes recherches ou sur des thématiques qui leur sont liées. </div><div style="text-align: justify;">La première vertu de cet exercice est qu’elle force à mettre des mots sur des réflexions encore mal formulées, sa visibilité publique exigeant une certaine rigueur qui va au-delà d’une simple prise de notes ou d’un bref exposé de faits. </div><div style="text-align: justify;">Par ailleurs, les chercheurs travaillant sur l’histoire de Tianjin n’étant pas très nombreux en France, ce blog, dans sa conception même, représentait aussi l’occasion de faire connaître mes recherches et de pouvoir entrer en contact avec une communauté académique. Bien que soupçonnée, cette seconde vertu m’est apparue décuplée puisque j’ai eu la surprise de découvrir l’intérêt d’autres personnes et de voir que ce qui me paraissait un sujet susceptible d’attirer un nombre restreint de spécialistes pouvait au contraire susciter l’attention d’un public plus large (petits-enfants d'individus ayant vécu à Tianjin au temps des concessions étrangères, Alliance française de Tianjin, chercheurs intéressés par l’enseignement français en Chine etc.). Les contacts qui ont pu être établis via mon blog avec une partie d’entre eux ne se sont pas limités à une simple curiosité de leur part ou à des messages d’encouragement. Certains m’ont aidé dans mes recherches et continuent à le faire en me faisant découvrir des articles, sites ou ouvrages liés à Tianjin. Ainsi, cette expérience d’écriture numérique s’avère extrêmement fructueuse dans la mesure où elle constitue un moyen de tisser un véritable réseau qui, non restreint à un public d’universitaires, invite à se décentrer de son point de vue de spécialiste pour embrasser une vision plus large autour de ses thématiques de recherche. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">A cette somme d’atouts, j’opposerais tout de même un inconvénient de taille : le temps. Ce dernier étant particulièrement précieux dans la poursuite d’un doctorat, il est parfois difficile de concilier les recherches et analyses liées à sa thèse avec la rédaction de billets sur son blog. Ceci constitue à mon sens l’un des pièges du numérique auquel il faut prendre garde. Avec le foisonnement d’informations qui existe sur la toile, il me semble que l'historien doit faire attention à ne pas se noyer dans cet amoncellement tentateur. De même, le temps de veille et d'activités liées au numérique telles que l'écriture d'un blog ne doit pas non plus monopoliser celui qui devrait être consacré à la recherche purement historique. Il faut savoir trouver un juste équilibre, certes difficile à maintenir, entre ces deux pans complémentaires que l’on doit tenter d’articuler ensemble. Partir des nécessités de son étude pour y chercher une réponse à travers le numérique constitue une solution possible. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Elle s’inscrit en tout cas comme l’un des autres enjeux majeurs de l’appropriation numérique en histoire. Au-delà de son aspect « utilitaire », cette dernière soulève en effet de nouvelles interrogations sur notre manière même de faire de la recherche. Parmi eux, la question du récit et de sa construction/déconstruction numérique, abordée et débattue durant ce séminaire, a particulièrement nourri ma réflexion en cours sur la construction d’un récit numérique visuel. Nous nous sommes notamment demandés jusqu'à quel point pouvait être déconstruit le récit historique traditionnel pour être remodelé autrement à travers le numérique. Ce questionnement s’est placé en écho direct avec la réalisation du projet que je tentais de mettre en forme autour d’un fonds visuel historique. </div><div style="text-align: justify;">Cette expérience a orienté ma réflexion vers deux aspects fondamentaux du travail historique : les sources et le lectorat visé. Le premier point, inhérent au travail de tout historien, se rapporte à l’utilisation, l’exploitation et la visualisation de la matière brute (textuelle, visuelle, audiovisuelle, sonore etc.) dont il dispose. Plus que jamais, les possibilités permises par le numérique amènent l’historien à remettre en question les fondements même de son métier, à savoir l’articulation de ses sources autour d’un récit historique, encore majoritairement textuel. Je reste pour ma part encore dubitative sur une disparition totale des mots dans le récit et les quelques tentatives ne donnant à voir que des éléments visuels n’ont à mon avis pas donné de résultats très probants. </div><div style="text-align: justify;">Pour le moment, je pense néanmoins qu’on pourrait concevoir un type de récit à deux entrées : l’un qui corresponde à la narration traditionnelle où le récit, bien que partant du visuel, occupe une place prédominante par rapport au visuel qui viendrait en support pour étayer le propos. L’autre, plus audacieuse et qui demande à mûrir, serait un parcours plus épuré où le lecteur serait plus libre dans un cheminement essentiellement constitué d’éléments visuels. Cela pourrait tout simplement l’amener à se poser des questions qu’il ne formulerait pas forcément s’il se contentait de suivre un chemin balisé et tracé d’avance. </div><div style="text-align: justify;">Je réfléchis à la manière de mettre en place ce double chemin à partir du fonds photographique et filmique que j’étudie. Se pose ensuite la question de l’adéquation entre les outils utilisés (en l’occurrence la plateforme Scalar) et ce que l’on veut construire. Pour contourner cette adaptation parfois difficile, un groupe de travail à l’IAO dont je fais partie tente justement de transposer ces différentes interrogations et attentes au sein d’une plateforme qui mettrait en forme, selon les exigences propres à l’historien, une ou des histoires visuelles alternatives. </div><div style="text-align: justify;">Le deuxième point guidant aussi cette reformulation du récit historique concerne le public escompté ou espéré. Relevant d’une discipline qui par essence est transversale à d’autres, il est évident que l’historien ne doit pas s’adresser uniquement à ses pairs. Le fait de vouloir toucher un large public n’est d’ailleurs pas incompatible avec le maintien d’une rigueur historique, critique et novatrice. On ne peut nier cependant que son lectorat, ou du moins la conception que l’on s’en fait, va aussi orienter l’élaboration et la présentation de notre récit. C’est pourquoi, les expériences d’une histoire purement « visuelle » se passant de tout texte doivent toujours viser la précision et la clarté du propos, ce dont manquent selon moi la plupart des tentatives faites jusqu’à présent dont le résultat est souvent confus et illisible pour un lecteur non initié. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Ce type de projets reste bien entendu difficile à mettre en place dans la mesure où il touche à l’essence même des pratiques courantes de l’historien et les chamboule. Un essai ne peut certes pas donner un résultat concluant et universel pour toutes les spécialités de notre discipline. C’est par tâtonnements progressifs que la réflexion et la construction concrète de récits historiques alternatifs peuvent voir le jour. Ainsi, l’appropriation des possibilités offertes par le numérique devrait nécessairement être suivie d’une adaptation aux nécessités du chercheur. On peut certes parler des aspects théoriques ou heuristiques liés au numérique mais il me semble que l’enjeu actuel repose plutôt sur une mise en pratique par l’historien lui-même. Au cours de ce séminaire, nous avons précisément mis le doigt sur l’urgence à ce que le chercheur s’investisse davantage au sein de cet espace en passant d’une utilisation et d’une appropriation passives à une adaptation en fonction de ses propres exigences scientifiques. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Par exemple, en explorant le site <a href="http://dohistory.org/" target="_blank">Do History</a>, j’ai été séduite et inspirée par son initiative didactique, l’idée étant de mettre le lecteur dans le laboratoire de l’historien en lui donnant des éléments de compréhension nécessaires pour élaborer ses propres interprétations. Considérant un domaine qui m’est familier, celui de la sinologie et plus précisément de l’histoire de la Chine, la solitude du chercheur face à ces documents m’est apparue d’autant plus grande. Il serait tellement appréciable pour les jeunes chercheurs occidentaux de pouvoir bénéficier de l’expérience de leurs aînés pour apprendre à décrypter leurs sources chinoises. Dans cette optique, on pourrait très bien concevoir une plateforme interactive où des documents d’archives de tous types seraient mis en ligne, traduits et expliqués pour donner au lecteur les clés élémentaires d’une analyse historique, littéraire, philosophique etc. On pourrait imaginer un projet cumulatif, envisagé de manière collaborative, impliquant un partage des tâches selon les spécialistes. A terme, cela ne pourrait qu’enrichir la recherche des sinologues par des ajouts et des corrections au fur et à mesure des avancées de chacun. Le numérique aurait ainsi la vertu de réunir de multiples expériences éparses qui seraient autrement restées cloisonnées dans leur compartiment de spécialistes, chacune conservant jalousement son pan de connaissance. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Pour conclure, je dirais que du haut de ma très courte expérience « numérique », j’ai le sentiment de me situer aujourd’hui dans un stade intermédiaire entre les phases d’appropriation et d’adaptation. J’en perçois les enjeux et les possibilités mais n’ai encore ni le temps ni les ressources nécessaires pour mettre en place un projet historique bâti à partir d’une utilisation et d’une réflexion adaptées à mes thématiques et à mes attentes de recherche. C’est en tout cas une voie que j’aimerais suivre après le doctorat et qui deviendra sans doute incontournable dans nos pratiques actuelles et futures d’historien. La question cruciale n’est finalement pas tant celle du numérique en lui-même mais plutôt celle de la reconnaissance de sa transversalité effective à toutes les disciplines et de l’urgence d’une incorporation appropriée aux nécessités et aux contraintes de chacune d’entre elles. </div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-67404635032205592522014-01-05T12:06:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.074-07:00Mission 5 : Analyse critique et discussion d’un site Web historique<!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--><br /><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]--><u><span style="font-size: 16.0pt;">Site choisi pour l’analyse :</span></u><span style="font-size: 16.0pt;"> <a href="http://historywired.si.edu/index.html">http://historywired.si.edu/index.html</a></span><br /><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Le site qui a donc attiré mon attention après la visite des sites proposés est <i>History Wired: A Few of Our Favorite Things.</i></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 16.0pt;">Description générale du site :</span></u> </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">C’est un <span class="hps">site</span> <span class="hps">expérimental de la Smithsonian Institution dans le but</span> d’<span class="hps">initier les visiteurs</span> <span class="hps">à certains</span> <span class="hps">des trois</span><span class="hps">millions d'objets</span> <span class="hps">détenus par le</span> <span class="hps">Musée</span> <span class="hps">national d'histoire américaine </span>: The <span class="hps">Behring</span> <span class="hps">Center.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Le but est donc de présenter des objets parfois insolites de la collection qui ne peuvent pas tous être exposés dans le musée. </span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">En effet, il y a moins de</span> <span class="hps">cinq pour cent</span> <span class="hps">de la</span> <span class="hps">vaste collection</span> <span class="hps">sur l'affichage public</span> <span class="hps">dans les</span> <span class="hps">salles d'exposition du musée.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Donc ce genre de site est mis en place et développé pour mettre en avant la richesse de la collection du musée en ligne.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">De plus dans ce site, on trouve 450 objets</span><span class="hps">sélectionnés</span> <span class="hps">par les conservateurs</span><span class="hps">à travers le</span> <span class="hps">musée</span>. Il <span class="hps">comprend des éléments</span> <span class="hps">célèbres</span>, <span class="hps">insolites</span> ou de <span class="hps">tous les jours</span> <span class="hps">mais qui ont des histoires</span> <span class="hps">intéressantes à raconter</span>. <span class="hps">Ils</span> <span class="hps">ne sont pas forcément destinés</span> <span class="hps">à</span> <span class="hps">être représentatif</span><span class="hps">de l'ensemble de</span> <span class="hps">la collection du Musée</span>.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">La conception</span> <span class="hps">et la navigation</span><span class="hps">sur le site</span> <span class="hps">ont été fournies par </span>Martin Wattenberg et<span class="hps"> SmartMoney.com.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">History Wired</span> <span class="hps">peut donc être assimilé à</span> <span class="hps">une visite privée et virtuelle</span><span class="hps">à travers les</span> <span class="hps">zones de stockage</span> <span class="hps">du musée</span>. Les <span class="hps">visiteurs peuvent</span> <span class="hps">sélectionner</span> <span class="hps">les</span> <span class="hps">objets</span><span class="hps">qui les intéressent</span> et consulter les informations principales sur ces articles.<br />Pour ce qui est du nom du domaine, il s'agit de .edu .</div><div class="MsoNormal"><u><span style="text-decoration: none;"><br /></span></u></div><div class="MsoNormal">Aspect de la page d’accueil du site :</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/-ZhmHj7QTOTQ/UsmZGSI4AEI/AAAAAAAAAEA/uS-wGRkb6dk/s1600/Image+1+history+wired.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://1.bp.blogspot.com/-ZhmHj7QTOTQ/UsmZGSI4AEI/AAAAAAAAAEA/uS-wGRkb6dk/s400/Image+1+history+wired.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /><span class="hps"></span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u><span class="hps"><span style="font-size: 16.0pt;">Fonctionnement du site et mode de navigation : </span></span></u></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Comme on peut le voir, le site est assez complexe.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">D’abord chaque objet est représenté par une case (un carré ou un rectangle) et sa taille est proportionnelle au nombre de remarque laissées par les visiteurs.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Comme c’est une carte interactive, lorsque l’on place le curseur sur une case, on a une description générale de l’objet en une ou deux lignes, sa date ainsi qu’une éventuelle photo.</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Les objets sont classés selon 11 grandes différentes catégories. Mais on trouve également des sous thèmes que l’on peut librement sélectionner.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Ainsi lorsque l’on passe le curseur sur une case, on voit apparaitre des liens vers les sous thèmes correspondants et les plus pertinents de l’objet. On peut aussi cliquer sur un sous thème et voir les cases correspondantes surlignées en orange.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Possibilité également de faire une recherche chronologique. C’est à dire qu’au fur et à mesure que l’on déplace le curseur du temps sur la frise, les cases se surlignent progressivement en gris selon la date de l’objet.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">La chronologie des objets va de 1400 à 2000.</span></div><div class="MsoNormal">On peut aussi zoomer sur une zone précise de la grille pour voir les cases de plus près. </div><div class="MsoNormal">Il est également possible de rechercher un objet précis en le rentrant dans la rubrique « recherche ».</div><div class="MsoNormal">Cependant, malgré ces fonctionnalités, ce site est resté au stade expérimental et donc comporte un certain nombre de défauts et problèmes.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 16.0pt;">Analyse critique du site :</span></u></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">D’abord pour accéder au site on rencontre déjà un problème. En effet, le site ne nécessite pas d’inscription quelconque mais comporte une application non signée. Il faut donc accepter une autorisation d’exécution et posséder une version à jour de java pour rentrer sur le site.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">D’autre part lorsque l’on double clic sur la case d’un objet ou que l’on clic sur « en savoir plus sur cet objet », la fenêtre de description ne s’ouvre pas automatiquement d’elle même. Il faut donc aller chercher cette description par soi même.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Pour cela il faut passer par la version « Text Only » et ainsi avoir accès à tous les objets classés par catégories mais cette fois en version texte.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Exemple pour la catégorie « vêtement » (clothing) </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://3.bp.blogspot.com/-vOnztSJDZtc/UsmZPe6BxbI/AAAAAAAAAEI/qylftyyuY24/s1600/Image+2+seance+7.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://3.bp.blogspot.com/-vOnztSJDZtc/UsmZPe6BxbI/AAAAAAAAAEI/qylftyyuY24/s400/Image+2+seance+7.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Ensuite pour ce qui est de la fiche détaillé d’un objet on se rend compte, lors de sa consultation, qu’elle reste assez limitée et brève. </div><div class="MsoNormal">On peut y voir une description de l’objet et de son éventuel possesseur sous la forme d’un petit paragraphe d’une dizaine de ligne. Il y a également la présence de quelques notes complémentaires.</div><div class="MsoNormal">Il a quand même parfois quelques informations complémentaires et plus poussées sur l’objet mais toujours sous forme de textes assez courts et brefs.</div><div class="MsoNormal">On peut aussi consulter et télécharger des documents audio s’il y en a. Enfin on peut évaluer l’objet avec une note entre 0 et 10 pour savoir comment cet objet est perçu par les visiteurs du site et quels types sont les plus appréciés. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">On peut mettre en avant certains objets et différents thèmes.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Le premier exemple dans la catégorie « clothing » (évoquée plus haut) avec la fiche sur la robe inaugurale de Jacqueline Kennedy :</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://3.bp.blogspot.com/-oM6Oqno4k-4/UsmZagW364I/AAAAAAAAAEQ/GEq3AoV7Df0/s1600/Image+3+robe+Jackie+Kennedy.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://3.bp.blogspot.com/-oM6Oqno4k-4/UsmZagW364I/AAAAAAAAAEQ/GEq3AoV7Df0/s400/Image+3+robe+Jackie+Kennedy.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Autre exemple que l’on peut mettre en avant cette fois dans la catégorie « sports » avec la fiche sur la raquette de tennis de Chris Evert.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://2.bp.blogspot.com/-XYqmWAnmuJg/UsmZjW1EJ_I/AAAAAAAAAEY/uE3FG9K5VSE/s1600/Image+4+Raquette+Chris+Evert.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://2.bp.blogspot.com/-XYqmWAnmuJg/UsmZjW1EJ_I/AAAAAAAAAEY/uE3FG9K5VSE/s400/Image+4+Raquette+Chris+Evert.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">On peut donc voir dans ces deux exemples les différences qu’il peut exister entre les fiches des objets. On peut avoir un objet très bien détaillé et un autre avec une description vraiment très succincte.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">On voit donc bien ici le côté déséquilibré de ce site et bien sur son côté évidemment expérimental. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 16.0pt;">Synthèse et conclusion :</span></u></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Pour conclure sur ce site, on peut dire que ce genre de travail présente quand même des avantages.</div><div class="MsoNormal">Grâce aux ressources virtuelles, il est possible de gérer et générer du contenu sans contraintes de montage ou d’édition.</div><div class="MsoNormal">Mais aussi, on ne fait pas attention à l’échelle et à l’organisation que nécessite ce travail dans le musée.</div><div class="MsoNormal">On peut consulter le site de la manière que l’on veut et autant de fois que l’on veut. Possibilité également de copier un texte ou un article et de l’imprimer mais pas non plus à des fins commerciales.</div><div class="MsoNormal">Des pages qui sont pensées et conçues par des professionnels (directeurs artistique, superviseurs de production, photographes).</div><div class="MsoNormal">De plus, si on recherche ce site avec Google il très facilement trouvable et apparait en premier de façon claire.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">L’analyse et la critique faite sur ce site peut donc nous emmener à mettre en avant le point de vue de Kelly Schrum dans son article <span style="font-size: 14.0pt;">"</span>Surfing for the Past : How to Separate the Good from the Bad," <i>AHA Perspectives</i> (May 2003).</div><div class="MsoNormal">Elle met en avant l’importance de critiquer les ressources en ligne et d’évaluer des sites Web (historiques).</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Exemples de questions à se poser pour réaliser à bien ce travail :</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">La question de l’auteur ou du créateur de la ressource en ligne (Qui a créé ? Qui héberge ? Quel est le nom du domaine ?)</div><div class="MsoNormal">Quel est le but du site ?</div><div class="MsoNormal">Qui est le public visé ?</div><div class="MsoNormal">Les sources sont-elles bien documentées ? </div><div class="MsoNormal">Y a-t’il une bonne orthographe et grammaire ?</div><div class="MsoNormal">A-t-on accès à des liens vers d’autres sites ?</div><div class="MsoNormal">Quelle est la crédibilité du site ?</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Un travail qui est on ne peut plus utile et essentiel (comme celui que nous venons de faire) dans le but de savoir comment appréhender, consulté et utilisé un site Web. </div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-13245417583965051812014-01-05T04:02:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.092-07:00Quelques impressions sur les sites "The History Channel" et "Do History"<div style="text-align: justify;">Dans le cadre des critiques formulées tout au long des lectures de cette séance, le site <a href="http://history.com/">History.com</a> mis en place par un groupe de chaînes de télévision semble cristalliser à lui seul le risque d'une forme d' "histoire commerciale" dont le contenu non sourcé se trouve noyé dans une page saturée par les bandeaux publicitaires et les liens vers d'autres émissions ou d'autres sites. L'ambition n'est certes pas de présenter une "histoire académique" mais plutôt de montrer une histoire populaire avec des rubriques extrêmement variées et des thématiques assez générales visant à attirer un "grand public" avec des questions du type "que s'est-il passé tel jour", "que s'est-il passé le jour de votre anniversaire", "qui a fait quoi", "pourquoi tel événement". Les articles sont toujours très courts et ne font que répondre à une question précise, sans référence et sans approfondissement particulier. Impossible de savoir le nom des auteurs. Un encadré informe simplement le lecteur que les faits évoqués sont censés être fiables mais si celui-ci constate des erreurs, il a la possibilité de contacter le site pour proposer ses propres corrections. Il s'agit donc d'une écriture de l'histoire collaborative un peu à la manière de Wikipédia mais avec encore moins de rigueur puisqu'on n'exige pas de sources ni de références bibliographiques. Ce site laisse donc le sentiment de naviguer dans une histoire assez commerciale voire "racoleuse" qui peut être distrayante ou divertissante mais pas forcément fiable du fait de son absence totale de rigueur méthodologique. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">A l'opposé, le site <a href="http://dohistory.org/home.html" target="_blank">Do History</a> semble répondre en quelques sortes aux aspirations exprimées par certains chercheurs dans les lectures de la séance, en particulier l'idée d'une formation concrète aux pratiques et aux méthodes de l'historien. Ici, on fournit aux lecteurs un certain nombre de sources primaires à partir desquelles il doit élaborer ses propres hypothèses à travers un cas d'étude précis. Le cheminement est bâti autour d'un parcours didactique où le lecteur n'est pas totalement libre mais est guidé au fur et à mesure des étapes d'analyse et de réflexion. On a l'impression de suivre une véritable initiation au métier d'historien de manière ludique et interactive. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Le point que j'ai particulièrement apprécié se trouve dans la rubrique "On your own", "History toolkit" où des conseils précis sont donnés sur la manière de mener un travail de recherche, d'exploiter et de lire des sources primaires. Cet aspect m'a paru faire écho à la très juste réflexion formulée par Claire Lemercier : "<i>Pour moi, le véritable intérêt des outils informatiques, c’est finalement qu’ils nous amènent à parler des méthodes, des pratiques propres à notre métier, comme la lecture et la prise de note sur une source, dont il était trop souvent admis, lorsque j’ai débuté, qu’on ne pouvait l’apprendre que sur le tas, en faisant mais sans jamais en discuter collectivement.</i>" (“Ce que le numérique fait à l’historien”. Entretien avec Claire Lemercier, par Elisa Grandi et Émilien Ruiz, <i>Diacronie. Studie di storia contemporanea</i>, 10, 2, 2012.). Il s'agit pour moi d'une véritable lacune dans l'enseignement de l'histoire. Les fondements de notre travail, c'est-à-dire le dépouillement, la lecture et l'analyse de nos sources restent malheureusement trop souvent considérés comme allant de soi et ne nécessitant pas un apprentissage à part entière. Or, lorsque l'on travaille avec certaines sources, par exemple des écrits du XVIIIe siècle comme sur le site ou des archives étrangères comme pour mes propres recherches, on aurait bien besoin d'être initié aux codes et aux pratiques d'écriture de l'époque et du contexte étudiés pour pouvoir bénéficier de l'expérience des chercheurs qui se sont déjà penchés sur des matériaux similaires.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">L'initiative du site en ce sens apparaît donc tout à fait pertinente et on aimerait que d'autres démarches du même type puissent être entreprises et élargies à l'exploitation d'autres cas d'étude et sources primaires.</div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-42158847739340736692013-12-17T03:55:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.109-07:00Rapport méthodologique d’un outil de Mind-mapping<span style="font-size: x-large;"><b><u>Site choisi :</u></b> bubbl.us</span> <br /><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Les sites proposés lors de cette séance permettent tous de réaliser une même fonction principale mais avec des outils et des caractéristiques différentes. Ce sont en effet des outils de Mind/Concept-mapping.<br />C'est-à-dire qu’ils permettent de visualiser des informations, des données sous forme de cartes ou schémas heuristiques, d’arbres à idées…</div><div class="MsoNormal">L’intérêt du <i>Mind-mapping</i> est donc de représenter un ensemble de relations entre des données selon une architecture précise (arborescence …) dans le but bien sur de mettre en valeur des informations en les structurant.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Le site que j’ai choisi de développer après différents tests est bubbl.us. Un site en ligne qui permet donc d’utiliser différents outils pour réaliser un <i>Mind-mapping</i>.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span style="font-size: x-large;"><b><u>Comment se présente le site ? </u></b></span></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;"><span style="text-decoration: none;"><br /></span></span></u></div><div class="MsoNormal">Tout d’abord c’est un site qui est en anglais et il faut s’inscrire pour pouvoir avoir accès aux fonctionnalités. Une fois inscrit et enregistré sur le site, il est possible de commencer à construire sa carte heuristique avec les outils mis à disposition dans la version gratuite (en effet certaines fonctionnalités sont accessibles seulement après avoir souscrit à un forfait payant).</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://3.bp.blogspot.com/-GFudiVWUuD0/Uq9e0txiwaI/AAAAAAAAADo/vqf3-JyUCww/s1600/Page+d%27acceuil+de+bubbl.us.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://3.bp.blogspot.com/-GFudiVWUuD0/Uq9e0txiwaI/AAAAAAAAADo/vqf3-JyUCww/s400/Page+d%27acceuil+de+bubbl.us.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span style="font-size: x-large;"> <b><u>Quelles fonctionnalités offre le site ? Que peut-on faire ? </u></b></span> </div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;"><span style="text-decoration: none;"><br /></span></span></u></div><div class="MsoNormal"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><u><span style="font-size: 14.0pt;">Création de bulles et de relations par arborescence</span></u></b></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Tout d’abord, comme son nom le suggère assez bien, le principe premier est la création de bulles (même si dans les faits ce sont plus des rectangles ou des carrés aux bords arrondis).</div><div class="MsoNormal">On part donc d’une bulle : on peut la nommer, changer sa taille ou sa couleur, la déplacer, mais encore lui attaché en pièce jointe un fichier de son ordinateur ou venant d’un site web (cette dernière fonction est seulement disponible dans la version payante).</div><div class="MsoNormal">Ensuite on peut bien sur créer de nouvelles bulles. Il est possible de créer directement une bulle « inférieure » à la bulle de départ à l’aide de CTRL+Enter ou avec l’aide d’un bouton/icone à l’intérieur de la bulle.</div><div class="MsoNormal">Pour ce qui est de la bulle « inférieure » créée, il est possible de lui ajouter une autre bulle « inférieure » grâce à la même méthode ou alors lui ajouter une bulle de même niveau (et donc une nouvelle bulle « inférieure » à la bulle de départ.</div><div class="MsoNormal">Enfin on peut créer une bulle indépendante et la relier à n’importe quelle autre bulle par une flèche.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Exemple avec les matières du Master 2 : </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://2.bp.blogspot.com/-8abOHUwYJpM/Uq9e9x5YufI/AAAAAAAAADw/VItpNcpol_0/s1600/Exemple+bubbl.us.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://2.bp.blogspot.com/-8abOHUwYJpM/Uq9e9x5YufI/AAAAAAAAADw/VItpNcpol_0/s400/Exemple+bubbl.us.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u><span style="text-decoration: none;"><br /></span></u></div><div class="MsoNormal"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><u><span style="font-size: 14.0pt;">Les autres fonctionnalités complémentaires du site</span></u></b><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14.0pt;"></span></b></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- Il est possible de zoomer librement sur l’ensemble de l’arborescence (ou de la "Map").</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- Il existe un icône qui permet d’annuler la dernière action effectuée si jamais on s’est trompé et que l’on a fait une erreur.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- Il y a la possibilité de sélectionner précisément une ou plusieurs bulles à l’aide de la flèche. La sélection peut par la suite être copiée et être collée à un autre endroit.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- On peut également imprimer soit l’intégralité de son travail soit la sélection éventuellement effectuée.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- On peut importer des fichiers (version payante) mais également exporter son travail sous la forme d’une image ou sous la forme d’une page web.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- La sauvegarde se fait à l’aide d’un icône où l'on peut cliquer mais on peut également mettre en place une sauvegarde automatique et régulière de son travail.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- On peut créer plusieurs dossiers (que l’on nomme de la manière que l’on veut) et dans lesquels il est possible de mettre plusieurs "Maps". On peut travailler sur plusieurs travaux différents en même temps.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- Enfin, comme c’est un site en ligne, il est possible de partager son travail avec les contacts d’autres utilisateurs que l’on possède. Grande interactivité car une fois la carte partagée, le contact peut la modifier autant qu’il le veut.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Ce dernier point est indéniablement le grand avantage de ce genre de <i>Mind-mapping</i> en ligne, par rapport aux logiciels classiques (type MindMeister ou PersonalBrain).</div><div class="MsoNormal">Après bien sur, ces autres logiciels sont plus développés et offrent plus d’outils, plus de possibilités.</div><div class="MsoNormal">C’est donc un site assez utile lorsqu’on est loin de son propre PC et de ses outils habituels. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="MsoNormal">Un site qui nous permet donc de bien synthétiser ses idées en rapport à un thème précis en visualisant ses relations avec les autres thèmes ou sous thèmes.</div><div class="MsoNormal">Cependant peut-on dire que c’est un outil qui rentre à l’intérieur et qui aide le processus de recherche ou bien qu’il sert seulement d’illustration une fois la recherche effectuée ? </div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-28238029836405479342013-12-16T09:47:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.127-07:00Rapport sur Xmind<div style="text-align: justify;">Xmind est un outil qui vise à trier, organiser et visualiser efficacement un ensemble d'activités, un concept, un programme, un organigramme, un rapport etc. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Ses possibilités de partage et d'exportation aux formats plus traditionnellement utilisés (tels que Excel) le distinguent de certains logiciels concurrents.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Le fonctionnement basique de Xmind réside dans l'élaboration de schémas qui s'articulent par des relations entre des personnes, des lieux, des événements, des tâches qui reproduisent sous forme simplifiée l'organisation de tous ces éléments dans le cerveau humain. Il permet donc tout d'abord de forcer l'utilisateur à clarifier et synthétiser sa pensée, ce qui en soi représente une première étape lorsqu'on commence à élaborer une réflexion ou que l'on veut organiser cette dernière. Ensuite, la manipulation de l'outil peut permettre de révéler des relations entre deux objets que l'on n'aurait pas pu identifier de manière aussi explicite qu'au travers de cette manière schématique de les représenter et de les visualiser.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Xmind permet aussi d'organiser des tâches ou des activités avec la visualisation "Gantt View" qui permet de suivre dans le temps l'évolution des éléments que l'on a ajouté. Cela peut être particulièrement utile dans l'élaboration d'un programme pour en retrouver les différentes étapes. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">On note aussi la possibilité de considérer tantôt tel ou tel objet comme central dans la carte mentale, ce qui ne change pas fondamentalement le schéma en soi mais seulement sa configuration avec une mise en valeur d'un élément ou d'une relation en particulier. Il s'agit donc d'un schéma flexible que l'on peut manipuler et remodeler selon l'évolution de son raisonnement.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">On peut s'interroger toutefois sur les capacités réelles de ce type d'outils à faire "avancer" la réflexion. Si elle permet de synthétiser ses idées et de les agencer efficacement, l'utilisation de ces logiciels nécessite d'avoir déjà penser en amont la construction et la hiérarchisation de ses idées. Est-ce vraiment un outil qui aide à élaborer et organiser son cheminement intellectuel ou reste-t-on dans une forme d'illustration de ce dernier ? Il me semble que c'est un point important qu'une utilisation approfondie de l'outil devrait pouvoir révéler.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Concernant enfin la visualisation du résultat auquel on aboutit, on peut regretter un certain statisme par rapport à des outils de visualisation tels que <a href="http://prezi.com/" target="_blank">Prezi </a>qui font aussi apparaître des relations entre plusieurs objets dans une vue dynamique pouvant intégrer différents types de support (audio, vidéo) et animant en quelque sort le schéma traditionnel. La différence notable entre les deux cependant est qu'avec Xmind, on peut observer les relations représentées dans l'ordre et selon le sens que l'on souhaite alors que Prezi impose une lecture particulière et ne permet pas forcément de visualiser l'ensemble des liens entre les objets évoqués.</div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-60081648645952102432013-12-10T03:28:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.143-07:00Rapport méthodologique d’un outil pour trier l’information<!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--><br /><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]--><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><u><span style="font-size: 16.0pt;">Site choisi :</span></u></b><span style="font-size: 16.0pt;"> <a href="http://tagcrowd.com/">http://tagcrowd.com</a></span> <br /><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Après l’exploration des différents outils méthodologiques pour trier l’information, celui qui a retenu mon attention est TagCrowd. </div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Ce site a été créé</span> <span class="hps">en Juillet</span> <span class="hps">2006 par Daniel</span> <span class="hps">Steinbock</span>, <span class="hps">alors qu'il était étudiant</span> <span class="hps">en doctorat à</span><span class="hps">l'Université de Stanford</span>.</div><div class="MsoNormal">On se rend compte assez rapidement que c’est <span class="hps">une application web</span> <span class="hps">permettant de visualiser</span><span class="hps">la fréquence des mots</span> <span class="hps">dans un texte</span><span class="hps">en créant</span> <span class="hps">ce qui est plus</span> <span class="hps">couramment connu comme un</span> « <span class="hps">nuage de mot</span>s » ou « tag cloud ».</div><div class="MsoNormal">Ce nuage de mots permet de visualiser assez rapidement ceux qui sont les plus importants en un seul coup d’œil. C'est-à-dire que plus un mot est cité et plus sa taille d’affichage sera importante.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;"><span style="text-decoration: none;"><br /></span></span></u></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;">Description du site et les différents types de texte à visualiser </span></u></div><div class="MsoNormal"><u><span style="text-decoration: none;"><br /></span></u></div><div class="MsoNormal">Dans un premier temps, l’aspect général du site est assez simpliste :</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/-yYJLrHHiQDU/UqYYwg5CQ1I/AAAAAAAAADA/VQ-Ont1Qy4s/s1600/Aspect+g%C3%A9n%C3%A9ral+de+TagCrowd.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://1.bp.blogspot.com/-yYJLrHHiQDU/UqYYwg5CQ1I/AAAAAAAAADA/VQ-Ont1Qy4s/s400/Aspect+g%C3%A9n%C3%A9ral+de+TagCrowd.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Comme on peut le voir (en plus de réaliser les nuages de mots) on peut accéder au blog du site, consulter l’aide…</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Ensuite pour ce qui est du cœur de l’outil, c'est-à-dire le fait de générer des nuages de mots à partir d’un texte, il peut être utilisé de trois manières différentes : </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- On peut rentrer l’URL d’une page Web pour visualiser la fréquence de tous ses mots. Un procédé qui peut être moins précis que directement un texte. En effet, il présente vraiment tous les mots de la page (même des mots qui n'aurait aucun rapport avec le texte qui nous intéresse).</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">(Exemple si l’on utilise l’URL du blog du séminaire) :</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://3.bp.blogspot.com/-gCx1_5d8NBw/UqYY8TKsbEI/AAAAAAAAADI/1urtZQIVDBc/s1600/Nuage+de+mot+par+l%27URL.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://3.bp.blogspot.com/-gCx1_5d8NBw/UqYY8TKsbEI/AAAAAAAAADI/1urtZQIVDBc/s400/Nuage+de+mot+par+l%27URL.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"> - On peut directement taper ou coller un texte dans le cadre prévu à cet effet pour obtenir son nuage de mots. </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">(Exemple si on l’on colle l’introduction de ce rapport dans le cadre et qu’on génère le nuage de mots) : </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://3.bp.blogspot.com/-qQL-mZvJIGM/UqYZMiV8i8I/AAAAAAAAADQ/t38SsduDLsc/s1600/Nuage+de+mot+si+on+rentre+un+texte.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://3.bp.blogspot.com/-qQL-mZvJIGM/UqYZMiV8i8I/AAAAAAAAADQ/t38SsduDLsc/s400/Nuage+de+mot+si+on+rentre+un+texte.png" width="400" /></a></div><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- La troisième possibilité est de télécharger un fichier texte pour visualiser les mots.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Une fois le type de texte rentré, il faut appuyer sur le bouton « visualize » pour voir le nuage et la fréquence des mots. </div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;"><br /></span></u></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;"><br /></span></u></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;">Différentes options pour visualiser les mots</span></u><span style="font-size: 14.0pt;"></span></div><div class="MsoNormal"><u><span style="text-decoration: none;"><br /></span></u></div><div class="MsoNormal"></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/-LmRdZIM5FyI/UqYZfJyTbqI/AAAAAAAAADY/QplyZlNeRts/s1600/Les+options+de+TagCrowd.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://1.bp.blogspot.com/-LmRdZIM5FyI/UqYZfJyTbqI/AAAAAAAAADY/QplyZlNeRts/s400/Les+options+de+TagCrowd.jpg" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Pour la visualisation, on a la possibilité de régler des options selon ce qui nous convient le mieux. Les différentes options sont :</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- la langue. On peut visualiser les mots dans la langue que l’on souhaite,</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- le nombre de mots. On peut régler un nombre maximum de mots à visualiser qui est compris entre 25 et 100. Il est préférable de visualiser un petit nombre de mots pour les textes courts et un grand nombre de mots pour les textes plus longs,</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- la fréquence. On peut afficher ou pas un mot selon le nombre de fois qu’il apparaît dans le texte. Par exemple si l’on rentre le nombre 3, seul les mots apparaissant au moins 3 fois seront affichés. Il est possible également d’afficher le chiffre exacte de la fréquence de chaque mot,</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- le groupement de mots. On a la possibilité si on le veut de grouper les mots ayant des liens les uns envers les autres,</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- la suppression de mots. On peut en effet choisir des mots que l’on veut exclure manuellement de la visualisation (assez utile pour les mots inutiles tels que "le", "la", "un", "de" et les autres prépositions ou conjonctions). </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Par ailleurs, on peut enregistrer les nuages de mots générés pour notre recherche, notamment sous format HTLM et <span style="mso-spacerun: yes;"></span>PDF. </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><span style="font-family: "Times New Roman"; font-size: 12.0pt; mso-ansi-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR;">Cet outil est donc très utile lorsque l’on a un texte, un site web ou un document texte pour savoir de quels thèmes principaux ils traitent en visualisant la fréquence de tous ses mots et ainsi savoir ceux qui reviennent le plus souvent. On peut donc savoir assez rapidement si un texte va pouvoir nous intéresser ou non. </span>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-33523088457797325952013-12-09T05:09:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.161-07:00Utilisation comparée de TagCrowd et Voyant Tools<div style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Les outils TagCrowd et Voyant Tools présentent la même simplicité d'utilisation et se complètent dans leurs focntionnalités. Ils permettent tous les deux d'évaluer puis d'afficher la récurrence des mots sur une page Internet ou dans n'importe quel texte que l'on peut copier coller. La visualisation est proportionnelle à la récurrence du mot dans le texte, autrement dit plus le mot est cité, plus sa taille d'affichage sera importante. </span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Dans TagCrowd, on peut copier coller un texte ou une adresse url et même télécharger un fichier. Ensuite, un panneau apparaît avec des mots de différentes tailles auxquels est accolé un chiffre indiquant le nombre de fois où ils se trouvent répétés dans le texte. Le problème qui se pose immédiatement est que les mots les plus récurrents ne sont pas forcément les plus pertinents, ce sont des articles (le, la, les, ce...) ou des conjonctions de coordination. En ce qui me concerne, j'ai fait le test avec <a href="http://tsh.hypotheses.org/514" target="_blank">un article de mon blog</a> et c'est l'article partitif "de" qui arrivait largement en tête ! Pour contourner ce problème, on peut sélectionner dans les options les termes que l'on ne souhaite pas voir apparaître. J'ai ainsi supprimé tous les articles et conjonctions qui ne permettent que d'articuler les propos et ne sont nullement représentatifs d'un point de vue épistémologique. On obtient ainsi un résultat plus affiné et plus cohérent avec le propos. Dans l'exemple que j'ai choisi, les noms des protagonistes de mon article Grace et Fu-Chi sont plus visibles ainsi que les noms de lieux "Chine", "Tianjin", "concessions", "ville" ou encore les termes se rapportant à l'analyse historique ("historique", "récit", "témoignages).</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">TagCrowd offre enfin la possibilité d'exporter le résultat en format HTML que l'on peut directement intégrer dans son blog (ce que j'ai fait ci-dessous) ou en format pdf.</span></div><div style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"></div><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-fareast-font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]--><!-- end tag cloud : generated by TagCrowd.com : please keep this notice --> <!-- begin tag cloud : generated by TagCrowd.com Feel free to modify as long as you keep this notice. EMBEDDING INSTRUCTIONS: 1. Customize your cloud's style by editing the CSS where it says CUSTOMIZE below. 2. Insert this code in its entirety into your webpage or blog post. This code and its rendered image are released under the Creative Commons Attribution-Noncommercial 3.0 Unported License. (http://creativecommons.org/licenses/by-nc/3.0/) For COMMERCIAL USE LICENSING, visit http://tagcrowd.com/licensing.html --><style type="text/css"><!-- #htmltagcloud{ /****************************************** * CUSTOMIZE CLOUD CSS BELOW (optional) */ font-size: 100%; width: auto; /* auto or fixed width, e.g. 500px */ font-family:'lucida grande','trebuchet ms',arial,helvetica,sans-serif; background-color:#fff; margin:1em 1em 0 1em; border:2px dotted #ddd; padding:2em; /****************************************** * END CUSTOMIZE */ }#htmltagcloud{line-height:2.4em;word-spacing:normal;letter-spacing:normal;text-transform:none;text-align:justify;text-indent:0}#htmltagcloud a:link{text-decoration:none}#htmltagcloud a:visited{text-decoration:none}#htmltagcloud a:hover{color:white;background-color:#05f}#htmltagcloud a:active{color:white;background-color:#03d}.wrd{padding:0;position:relative}.wrd a{text-decoration:none}.tagcloud0{font-size:1.0em;color:#ACC1F3;z-index:10}.tagcloud0 a{color:#ACC1F3}.tagcloud1{font-size:1.4em;color:#ACC1F3;z-index:9}.tagcloud1 a{color:#ACC1F3}.tagcloud2{font-size:1.8em;color:#86A0DC;z-index:8}.tagcloud2 a{color:#86A0DC}.tagcloud3{font-size:2.2em;color:#86A0DC;z-index:7}.tagcloud3 a{color:#86A0DC}.tagcloud4{font-size:2.6em;color:#607EC5;z-index:6}.tagcloud4 a{color:#607EC5}.tagcloud5{font-size:3.0em;color:#607EC5;z-index:5}.tagcloud5 a{color:#607EC5}.tagcloud6{font-size:3.3em;color:#4C6DB9;z-index:4}.tagcloud6 a{color:#4C6DB9}.tagcloud7{font-size:3.6em;color:#395CAE;z-index:3}.tagcloud7 a{color:#395CAE}.tagcloud8{font-size:3.9em;color:#264CA2;z-index:2}.tagcloud8 a{color:#264CA2}.tagcloud9{font-size:4.2em;color:#133B97;z-index:1}.tagcloud9 a{color:#133B97}.tagcloud10{font-size:4.5em;color:#002A8B;z-index:0}.tagcloud10 a{color:#002A8B}.freq{font-size:10pt !important;color:#bbb}#credit{text-align:center;color:#333;margin-bottom:0.6em;font:0.7em 'lucida grande',trebuchet,'trebuchet ms',verdana,arial,helvetica,sans-serif}#credit a:link{color:#777;text-decoration:none}#credit a:visited{color:#777;text-decoration:none}#credit a:hover{color:white;background-color:#05f}#credit a:active{text-decoration:underline}// --></style> <br /><div id="htmltagcloud"><span class="wrd tagcloud2" id="0"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">americaine<span class="freq"> (9)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud4" id="1"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">annees<span class="freq"> (14)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="2"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">apres<span class="freq"> (10)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="3"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">ayant<span class="freq"> (7)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="4"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">certains<span class="freq"> (6)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud4" id="5"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">cette<span class="freq"> (13)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud6" id="6"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">chine<span class="freq"> (18)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="7"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">chinois<span class="freq"> (7)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud1" id="8"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">communistes<span class="freq"> (8)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud8" id="9"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">concessions<span class="freq"> (28)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="10"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">derniere<span class="freq"> (10)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="11"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">deux<span class="freq"> (10)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud1" id="12"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">different<span class="freq"> (8)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud6" id="13"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">elle<span class="freq"> (21)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud3" id="14"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">entre<span class="freq"> (11)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud1" id="15"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">est<span class="freq"> (8)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud1" id="16"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">etats-unis<span class="freq"> (8)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="17"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">etrangers<span class="freq"> (9)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud1" id="18"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">evenements<span class="freq"> (8)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud5" id="19"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">famille<span class="freq"> (16)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="20"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">francaise<span class="freq"> (7)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud3" id="21"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">fu-chi<span class="freq"> (12)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud10" id="22"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">grace<span class="freq"> (37)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="23"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">guerre<span class="freq"> (7)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="24"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">historiques<span class="freq"> (10)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud3" id="25"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">il<span class="freq"> (11)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="26"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">jeune<span class="freq"> (10)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="27"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">liu<span class="freq"> (10)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="28"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">mais<span class="freq"> (7)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud3" id="29"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">meme<span class="freq"> (11)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="30"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">ont<span class="freq"> (6)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud3" id="31"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">ou<span class="freq"> (12)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="32"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">pays<span class="freq"> (10)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="33"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">poste<span class="freq"> (6)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="34"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">premieres<span class="freq"> (9)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="35"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">qu'elle<span class="freq"> (10)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="36"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">qu'il<span class="freq"> (6)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud1" id="37"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">quelques<span class="freq"> (8)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="38"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">recit<span class="freq"> (9)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="39"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">reste<span class="freq"> (6)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud3" id="40"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">sont<span class="freq"> (12)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud3" id="41"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">sur<span class="freq"> (11)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="42"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">tandis<span class="freq"> (6)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud1" id="43"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">temoignages<span class="freq"> (8)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud6" id="44"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">tianjin<span class="freq"> (21)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud3" id="45"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">tout<span class="freq"> (12)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="46"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">trouve<span class="freq"> (7)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud2" id="47"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">vie<span class="freq"> (9)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud4" id="48"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">ville<span class="freq"> (14)</span></a></span> <span class="wrd tagcloud0" id="49"><a href="http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5166580278884147313#tagcloud">vivre<span class="freq"> (6)</span></a></span> </div><div id="credit">created at <a href="http://tagcrowd.com/">TagCrowd.com</a></div><!-- end tag cloud : generated by TagCrowd.com : please keep this notice --> <br /><div style="text-align: justify;"><br /><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">J'ai effectué le même travail avec <a href="http://voyeurtools.org/?corpus=1386592337690.5801" target="_blank">Voyant Tools</a>. Les résultats sont les mêmes qu'avec TagCrowd concernant la prédominance des articles et conjonctions. En revanche, il ne semble pas qu'il soit possible comme pour TagCrowd de ne pas afficher certains termes. L'analyse de la récurrence des termes, de leur localisation est beaucoup plus fine que sur TagCrowd. Quatre panneaux latéraux indiquent la visualisation proportionnelle de l'apparition du mot dans le texte, la comptabilisation exacte du nombre de citations du terme, un graphique montrant les tendances d'utilisation du mot dans le texte avec des fréquences relatives et enfin l'emplacement exact du terme dans le texte.</span></div><div style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">S'il semble possible d'enregistrer ou d'exporter le corpus en lui-même, il apparaît cependant impossible de sauvegarder chaque élément séparément. </span></span></div><div id="credit"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div><form action="http://voyeurtools.org/" method="get" target="_blank"><div style="text-align: justify;"><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-fareast-font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]--><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Pour conclure, on peut dire que ces deux outils offrent des fonctionnalités différentes qui peuvent être utiles selon les besoins et les intentions de sa recherche. Pour une visualisation plus fine, pertinente et surtout représentative du contenu épistémologique d'un texte, on préférera TagCrowd. Pour une recherche plus systématique et précise d'un point de vue quantitatif, les fonctionnalités de Voyant Tools semblent plus adaptées. Si l'on souhaite réaliser une étude révélant des tendances historiographiques par exemple, on utilisera peut-être davantage TagCrowd tandis qu'une étude s'intéressant à l'aspect purement lexical d'un texte sera sans doute plus efficace avec Voyant Tools.</span></div></form>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-56157071653112477502013-12-03T06:20:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.183-07:00Zotero et la question des sources<div style="text-align: justify;">Je voulais au départ utiliser et présenter Zotz mais je ne parviens pas à l'installer sur Firefox car il est indiqué que la version que j'utilise n'est pas compatible avec cet outil. J'ai vu sur le site qu'il ne fonctionne qu'avec les versions 2.x or j'utilise la dernière version 25.0.1.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Plus qu'une présentation précise de Zotero que nous sommes maintenant nombreux à utiliser, je préfèrerais soulever une question importante pour notre travail d'historien, celui de la gestion des sources. Zotero est certes un outil très efficace pour répertorier et exploiter des références bibliographiques mais il me semble que la question des sources apparaît plus problématique. En particulier, comment inventorier les nombreux documents d'archives que nous sommes amenés à citer. On peut certes enregistrer les références du lieu d'archives, de la série et du carton mais on doit aussi préciser le type de documents, la date et le titre. Or, dans un même carton, on peut avoir des documents de plusieurs natures et rédigés à des dates différentes. On ne peut pas ajouter chacun des documents car cela semble un travail trop gigantesque. La solution serait-elle d'entrer les références générales puis d'ajouter soi-même les informations plus précises se rattachant au document cité ? C'est une interrogation précise que je me pose actuellement dans le cadre de mes recherches. J'aimerais donc que l'on puisse en discuter ensemble dans le cadre du séminaire.</div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-53859217633801217392013-12-03T05:40:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.197-07:00Compte-rendu sur le « Texas Slavery Project »<!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> <w:UseFELayout/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--><br /><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-fareast-font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]--> <br /><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le projet qui date de 2007-2008 a pour objectif d’analyser l’expansion de l’esclavage à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique, plus précisément au Texas, de 1837 à 1845.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Plusieurs outils sont mobilisés pour offrir un espace de partage, de visualisation, de compréhension, d’interaction et de pédagogie à partir de cette problématique.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le site s’articule autour de trois grands axes :</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">1) Des cartes dynamiques qui permettent de montrer la répartition et la proportion des esclaves et des esclavagistes au Texas. L’évolution que l'on peut suivre est non seulement spatiale et numérique mais elle est aussi chronologique et c’est là, à mon sens, l’une des forces de ces cartes que de réussir à combiner les données dans le temps et l’espace. Chaque comté du Texas peut également être visualisé séparément des autres. On peut donc alterner entre une vue générale de l’Etat du Texas (à l’époque une république indépendante) et une vue plus précise d'un comté ou de plusieurs comtés. Cette précision peut être spatiale (à l’échelle du comté), temporelle (une année) ou quantitative (évolution des populations d’esclaves et d’esclavagistes en un lieu et pour un temps donné). </div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">2) Une base de données avec un moteur de recherche qui permet de retrouver les données quantitatives utilisées pour réaliser les cartes. On peut y retrouver les données précises pour tous les comtés du Texas en alternant de la même manière que pour les cartes entre données générales et données plus précises. D’autre part, plusieurs graphiques combinent ces données selon des axes précis. Surtout, un graphique que l’on pourrait qualifier de « collaboratif » ou « interactif » permet d’assembler les données et les statistiques selon ses propres recherches ou analyses. Là aussi c’est une bonne initiative qui invite à sortir d’une lecture passive des données et des résultats de recherche souvent présentés sous forme d'une représentation fixe qui vient illustrer l’analyse.<br />A noter que le moteur de recherche des données permet d'effectuer une recherche soit par comté, soit de manière quantitative (nombre d'esclaves, d'esclavagistes). On peut ensuite exporter toutes les données qui ont été classées sous forme de tableau. Il semble que le format soit "txt" et non "xls". J'ignore si cela pose problème pour une utilisation sur QGIS par exemple. La source de chaque donnée entrée est indiquée quand elle est connue mais pas de manière précise puisqu'on peut voir seulement la nature du support (par exemple, un microfilm).</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">3) Les sources primaires composées de témoignages de contemporains ayant vécu au Texas à cette époque. On trouve des lettres personnelles, des articles de journaux, des documents officiels tels que des lois etc. Chaque document peut être exporté au formal xml.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Dans ce projet, on n'a pas d'analyse écrite mais seulement une compilation de données quantitatives et visuelles autour d’une problématique précise. On peut considérer le site comme une base de données interactive s'adressant à des chercheurs qui travaillent sur l’histoire de l’esclavage aux Etats-Unis. Par rapport à d'autres plateformes qui brassent un grand nombre de données et des problématiques assez larges, celle-ci donne l'exemple d'une mise en pratique possible d'une histoire numérique autour d'un objet d'étude spatialement et temporellement plus restreint.<br /><br />Concernant des projets francophones, on peut citer le portail <a href="http://www.cn-telma.fr/">Telma du CNRS</a> qui recense des projets d'édition électronique de sources primaires et d'instruments de recherche nécessaires à leur exploitation.<br /><br /><br /><a href="http://www.blogger.com/null" name="_GoBack"></a></div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-52622066011161657312013-12-03T04:14:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.211-07:00Rapport méthodologique d’un outil de gestion bibliographique<!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--><u><span style="font-size: 16.0pt;">Site choisi :</span></u><span style="font-size: 16.0pt;"> Librarything, <a href="http://www.librarything.fr/">http://www.librarything.fr</a></span> <br /><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Lorsque l’on arrive sur le site on peut voir une présentation générale, on peut faire une visite rapide pour comprendre le principe du site, on peut soit se connecter soit s’inscrire, on peut aussi visualiser les activités importantes et récentes.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;">Comment peut-on présenter Librarything ?</span></u></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">On peut dire que c’est une sorte de réseau social et un outil pour cataloguer des livres. On peut y créer son propre catalogue avec les livres pouvant nous intéresser, qu’on a consulté ou que l’on a lu. On peut mettre en commun son catalogue en ligne pour communiquer avec d’autres utilisateurs par différents moyens.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/-HgvPRtyt-Ao/Upz6O5Ew0vI/AAAAAAAAACQ/VnjCNinszzw/s1600/Page+d%27acceuil+du+site+LibraryThing.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://1.bp.blogspot.com/-HgvPRtyt-Ao/Upz6O5Ew0vI/AAAAAAAAACQ/VnjCNinszzw/s400/Page+d%27acceuil+du+site+LibraryThing.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;"><span style="text-decoration: none;"></span></span></u><u><span style="font-size: 14.0pt;">Comment fonctionne-t-il et comment l’utiliser ?</span></u> </div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;"><span style="text-decoration: none;"><br /></span></span></u></div><div class="MsoNormal">- On peut rechercher le livre par titre, par auteur ou par un identifiant précis. Si le livre est disponible, on peut le choisir dans l’édition voulu. Par ailleurs, si le livre n’est pas disponible, il est possible de le rentrer manuellement.</div><div class="MsoNormal">On choisi où rechercher les livres (sites comme Amazon ou encore des sites de n’importe quelle bibliothèque).</div><div class="MsoNormal">-On gère ensuite sa bibliothèque, on peut visualiser son catalogue sous la forme d’une liste de livres avec leurs couvertures. Après on peut réaliser différentes recherches dans cette liste,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>trier et classer les livres grâce à des étiquettes par mots-clés, éditer manuellement les informations sur les livres, imprimer sa bibliothèque ou encore écrire ses propres critiques.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://3.bp.blogspot.com/-YSnnAdUJQqA/Upz6kEr33FI/AAAAAAAAACY/C7JIUyBfMtU/s1600/Liste+de+mes+livres+dans+LibraryThing.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://3.bp.blogspot.com/-YSnnAdUJQqA/Upz6kEr33FI/AAAAAAAAACY/C7JIUyBfMtU/s400/Liste+de+mes+livres+dans+LibraryThing.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- Si l’on ne sait pas précisément quel livre on veut, on peut faire une recherche par mots-clés et consulter les suggestions fournies par le site qui peut s’appuyer sur des informations fournies par d’autres utilisateurs. Possibilité de savoir quels utilisateurs possèdent ce livre dans leur bibliothèque, ce qu’ils en pensent et consulter les critiques qu’ils on pu éventuellement émettre.</div><div class="MsoNormal">- On peut bien sûr gérer son profil utilisateur avec des informations sur soi, sur sa bibliothèque que l’on peut totalement partagée ou partagée partiellement en gardant certaines informations privées. </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-hkUAKL8v_Z0/Upz6uEaNXAI/AAAAAAAAACg/XljJLxrRnU4/s1600/Page+de+profil+dans+LibraryThing.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://4.bp.blogspot.com/-hkUAKL8v_Z0/Upz6uEaNXAI/AAAAAAAAACg/XljJLxrRnU4/s400/Page+de+profil+dans+LibraryThing.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">On peut partager les informations que l’on désire avec les autres utilisateurs. On peut aussi consulter et voir les principales tendances.</div><div class="MsoNormal">- Le site est fortement interactif et met en place des forums de discussion. On peut participer à des groupes qui nous intéressent ou créer son propre groupe de discussion. On peut voir <span class="trans">les conversations dans tous les groupes ou seulement dans nos propres groupes. On peut lire que ce que les autres utilisateurs disent ou bien sûr poster soi-même des messages.</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/-C1XXyAVIhHY/Upz62b6zYnI/AAAAAAAAACo/etJmiCuImPY/s1600/Recherche+de+groupes+dans+LibraryThing.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://1.bp.blogspot.com/-C1XXyAVIhHY/Upz62b6zYnI/AAAAAAAAACo/etJmiCuImPY/s400/Recherche+de+groupes+dans+LibraryThing.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/-gpoHEPTlO1w/Upz6-RSoUpI/AAAAAAAAACw/ZFmbbH1pT54/s1600/Les+discussions+dans+LibraryThing.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://1.bp.blogspot.com/-gpoHEPTlO1w/Upz6-RSoUpI/AAAAAAAAACw/ZFmbbH1pT54/s400/Les+discussions+dans+LibraryThing.png" width="400" /></a></div><br /><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="trans"> - D’autres optionalités sont disponibles comme localiser certaines bibliothèques et évènements pouvant nous intéresser.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="trans">- <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>On peut aussi partager ses informations du site sur un blog ou encore sur Twitter.</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="trans">On peut dire quand même que c'est un bon site pour gérer la liste des livres de sa bibliographie, la modifier ainsi que ses références. On peut voir les listes des autres utilisateurs ainsi que leurs critiques pour avoir d’autres points de vue sur les livres. Importante interactivité de part la possibilité de rejoindre des groupes de discussion. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></div><br /><span class="trans">Cependant cet outil, très adapté aux livres, ne l'est pas aux articles et aux autres sites internet.<span style="font-family: "Times New Roman"; font-size: 12.0pt; mso-ansi-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR;"> Donc pas adapté à la gestion d'autres types de références que les livres.</span></span><br /><span class="trans"><span style="font-family: "Times New Roman"; font-size: 12.0pt; mso-ansi-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR;">Il est aussi moins pratique que Zotero dans la mesure où il est nécessaire de passer par le site pour ajouter la référence d'un livre. Alors que lorsque l’on télécharge le logiciel Zotero, on peut ajouter directement la référence de l’endroit où on l’a trouvée grâce à un icône spécial.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></span>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-54599529276302884462013-12-03T04:02:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.225-07:00Mission 3 : Compte-rendu critique d’un site historique<!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--><u><span lang="EN-GB" style="font-size: 16.0pt; mso-ansi-language: EN-GB;">Site:</span></u><span lang="EN-GB" style="font-size: 16.0pt; mso-ansi-language: EN-GB;"> “Hypertext History: Our Online American History Textbook”.</span> <br /><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Le site choisi est un site à la fois riche, très complet mais également assez complexe sur l’histoire des Etats-Unis. </div><div class="MsoNormal">C’est donc un site qui a pour objectif de décrire et de retracer une histoire des Etats-Unis en ligne de manière numérique et grâce au principe d’Hypertext.</div><div class="MsoNormal">En clair le principe est d’utiliser les nouvelles technologies (numériques) pour améliorer l’enseignement et la recherche sur l’histoire des Etats-Unis.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://2.bp.blogspot.com/-UUaQXAcEKWA/Upz4xQ_vb7I/AAAAAAAAAB8/inkSQS2I2Gs/s1600/Pr%C3%A9sentation+g%C3%A9n%C3%A9rale+du+site.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://2.bp.blogspot.com/-UUaQXAcEKWA/Upz4xQ_vb7I/AAAAAAAAAB8/inkSQS2I2Gs/s400/Pr%C3%A9sentation+g%C3%A9n%C3%A9rale+du+site.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;"><br /></span></u></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;">Aspects généraux du site et modes de navigation :</span></u></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Lorsque l’on est sur la page d’accueil du site, on peut naviguer dessus et rechercher des informations à l’aide de plusieurs entrées :</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- En effet, on peut trouver ce que l’on recherche d’abord par les catégories présentes en bas du site :</div><div class="MsoNormal"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="MsoNormal"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>- Il y la catégorie « Era » qui permet de trouver toutes les informations disponibles en rapport à la période historique choisi et sélectionnée. On trouve toutes les périodes caractéristiques de l’histoire des Etats-Unis.</div><div class="MsoNormal"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>- On trouve aussi la catégorie « Topics » qui permet là de trouver des informations en rapport à un ou plusieurs thèmes qui nous intéressent.</div><div class="MsoNormal"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>- La catégorie « Resources » elle nous donne accès aux informations selon le type de source (les sources primaires et écrites, les témoignages/voix de différentes personnes ou encore les sources multimédia comme des vidéos ou des documents audio).</div><div class="MsoNormal"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>- Enfin, il y aussi une catégorie « References » pour trouver des références plus précises.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">- On peut également trouver les informations désirées à l’aide de la frise chronologique présente en haut du site :</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Cette frise est appelée « Timeline » et nous permet de visualiser toutes les périodes de l’histoire des Etats-Unis.</div><div class="MsoNormal">Sur la frise, de manière horizontale, il y a les dates et les événements sont placés chronologiquement en fonction dessus. Sur le côté horizontal de la frise, on trouve certaines catégories (Media, Documents, Textbook, Teaching).</div><div class="MsoNormal">L’intersection de la période et de la catégorie aboutie à une case interactive où l’on peut cliquer et avoir accès à toutes les informations.</div><div class="MsoNormal">Il est aussi possible avec un curseur horizontal de parcourir la frise et de pouvoir naviguer vers toutes les périodes.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-cgspbu7BXtA/Upz4-fu0QLI/AAAAAAAAACE/qqt9LsG_ypk/s1600/Pr%C3%A9sentation+du+site+2.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="250" src="http://4.bp.blogspot.com/-cgspbu7BXtA/Upz4-fu0QLI/AAAAAAAAACE/qqt9LsG_ypk/s400/Pr%C3%A9sentation+du+site+2.png" width="400" /></a></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;"><span style="text-decoration: none;"><br /></span></span></u></div><div class="MsoNormal"><u><span style="font-size: 14.0pt;"><span style="text-decoration: none;"></span></span></u><u><span style="font-size: 14.0pt;">Naviguer sur le site par rapport aux périodes historiques : </span></u> </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">On se rend compte ensuite que lorsque l’on sélectionne une période précise, on peut consulter de nombreuses informations sur cette dernière.</div><div class="MsoNormal">En effet, pour chaque période, on a au choix accès à divers documents écrits plus ou moins précis. On peut trouver la description de certains événements caractéristiques qui se sont passés durant la période. On peut également consulter la biographie de personnalités importantes de la période.</div><div class="MsoNormal">On peut trouver aussi des documents audio, des films ou encore des images.</div><div class="MsoNormal">Enfin on trouve des cours complets sur la période, des liens vers d’autres sites ou encore des quizz pour exercer ses connaissances.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Il y a bien sur aussi de nombreuses cartes par période, outil ou thèmes.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Donc un site qui se veut comme une histoire complète des Etats-Unis de manière numérique.</div><div class="MsoNormal">Il essaie d’apporter dans le même espace numérique toutes les informations (documents textuels, audio, vidéos, cartes, images, définitions) nécessaires pour visualiser et maîtriser de manière exhaustive l’histoire des Etats-Unis. </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Selon moi, le site est assez bien complet au niveau de la diversité des informations disponibles, il apporte aussi plusieurs entrées différentes pour la consultation. On peut aussi bien raisonner dans une optique purement historique grâce au classement des données par période mais on peut également travailler sur les Etats-Unis de manière thématique et en choisissant les types de sources.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Un site qui utilise l'Internet</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">pour recueillir des</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">informations, des faits</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">ou des évènements du passé. </span>Une <span class="hps">nouvelle méthode de</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">construction d'une</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">archive</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">numérique.</span><br /><span class="hps">Interactivité</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">dans le site internet afin</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">que les visiteurs puissent</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">apporter leur participation (leurs</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">souvenirs et</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">autres</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">documents historiques). </span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Il encourage les</span><span class="longtext"></span><span class="hps">gens</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">à participer et à faire de l'histoire</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">dans</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">ce nouveau média.</span><br />Il tente <span class="hps">d’évaluer et d’améliorer</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">la validité</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">et la valeur de</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">ses sujets (en réalisant des études qualitatives).</span><br /><br style="mso-special-character: line-break;" /><span style="font-size: 14.0pt;"></span></div><div class="MsoNormal">Un site assez bien organisé et complet qui nécessite une bonne compréhension préalable des outils et du mode de navigation. Une fois ce travail réalisé, il est plutôt facile de mener sa recherche et son analyse de la manière qui nous convient le mieux.</div><div class="MsoNormal"><u><span style="text-decoration: none;"><br /></span></u></div><div class="MsoNormal"><u><span style="text-decoration: none;"><br /></span></u></div><div class="MsoNormal"><u>Proposition de sites de tentatives comparables dans l’espace francophone :</u></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u>Histoire générale :</u></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><a href="http://www.histoire-image.org/">http://www.histoire-image.org/</a></div><div class="MsoNormal"><a href="http://www.memo.fr/index.htm">http://www.memo.fr/index.htm</a></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u>Histoire des États-Unis : </u></div><div class="MsoNormal"><br /><a href="http://www.histoirealacarte.com/carte/7-etats-unis-histoire-territoriale.php">http://www.histoirealacarte.com/carte/7-etats-unis-histoire-territoriale.php</a> </div><div class="MsoNormal"><a href="http://etats-unis.americas-fr.com/histoire.html">http://etats-unis.americas-fr.com/histoire.html</a></div><div class="MsoNormal"><br /></div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-15734256915919569162013-12-02T14:11:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.241-07:00Semaine 4 : Les archives de l'infini et la numérisation de masse-Pistes sur les lectures<!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--><br /><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if !mso]><img src="//img2.blogblog.com/img/video_object.png" style="background-color: #b2b2b2; " class="BLOGGER-object-element tr_noresize tr_placeholder" id="ieooui" data-original-id="ieooui" /><style>st1\:*{behavior:url(#ieooui) } </style><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]--><span style="font-size: 14.0pt;">1)</span> <span style="font-size: 14.0pt;">Dans ces lectures, on se rend très vite compte que le premier sujet principal est la question de la numérisation.</span> <br /><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><b><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">(Cohen & Rosenzweig, <i>Digital History</i>, Chapter 3 (Becoming Digital))</span></b></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Numérisation ?</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">- Les</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">avantages et les inconvénients</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">de la numérisation</span><br />- <span class="hps">Les</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">différentes raisons et les façons dont</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">le texte peut être</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">numérisé</span><br />- <span class="hps">Les</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">avantages et les coûts</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">de</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">marquage de</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">texte</span><br />- <span class="hps">Les</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">façons de numériser des images</span><br />- <span class="hps">Les manières de numériser</span><span class="longtext"> le </span><span class="hps">son et</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">les images en mouvement</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">- Les personnes qui réalisent la numérisation, les acteurs</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Le passé était</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">analogique</span><span class="longtext">. </span><span class="hps">L'avenir</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">est</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">numérique</span><span class="longtext">. Une quantité étonnante de l'enregistrement historique analogique est déjà devenue numérique dans la dernière décennie.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Les nouvelles générations d’historiens sont de plus en plus formées aux techniques du numérique.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Historiens, bibliothécaires, archivistes vont entrer dans le jeu de numérisation de peur de se laisser distancer et d’être mis de côté.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Alors que les données analogiques utilisent un flux variable et continue, des données numériques sont un échantillon des données d'origine encodées de manière binaire (1 et 0) sur un ordinateur.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">(comparaison entre la montre-bracelet et l’horloge numérique).</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">La numérisation et notamment le stockage ont un coût important.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Le lieu en puissance qu’est l'ordinateur permet de baisser le coût du stockage numérique mais également d’augmenter significativement la vitesse des réseaux informatiques.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">À première vue, le débat entre analogique et numérique semble s'appliquer aux sons et images et non à un texte, qui a la même qualité d’impression que des données numériques. </span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Cependant des problèmes comparables dans la numérisation de texte existent. Question de la densité des données.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Il peut être impossible (ou tout au moins très difficile) de passer de l'analogique au numérique sans perte d'information.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">La numérisation</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">peut être imparfaite</span><span class="longtext">, </span><span class="hps">difficile et coûteuse.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Le numérique met en valeur et développe l’avantage de l’accès à de nombreuses sources historiques pouvant être difficiles à trouver. </span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Le numérique permet aussi aujourd’hui à plus en plus de personnes d’effectuer des recherches<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>car les ressources sont facilement accessibles.</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span style="font-size: 14.0pt;">2)</span> <span style="font-size: 14.0pt;">Ensuite on s’intéresse à la façon de préserver le passé avec l’évolution des sources et l’aide du numérique (entre rareté et abondance).</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><b><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">(Rosenzweig,"</span><span lang="EN-GB" style="text-decoration: none;">Scarcity or Abundance? Preserving the Past in a Digital Era</span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">," <i>American Historical Review</i> 108, no. 3 (Jun 2003): 735-762).</span></b></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Ainsi les historiens doivent penser simultanément à comment faire des recherches, à écrire et à enseigner dans un monde de l'abondance historique. </span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Mais les historiens ont du mal à prendre en compte ces problèmes « techniques » qui sont pour eux hors champs des sciences sociales.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Les questions les plus importantes au sujet de la conservation numérique sont juridiques, sociales, culturelles, économiques, politiques.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Les historiens</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">peuvent aussi être</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">confrontés à un</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">changement de paradigme fondamental</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">d'une culture de</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">la rareté à</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">une culture</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">de l'abondance.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Mais est ce que cette abondance apporte une meilleure ou une histoire plus réfléchie ?</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Changements de méthode des historiens pour s’adapter à l’abondance des sources historiques.</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Des débats entre bibliothécaires, archivistes et historiens sur les sources et leur conservation.</span><span style="font-size: 14.0pt;"></span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span style="font-size: 14.0pt;">3)</span> <span style="font-size: 14.0pt;">Une nouvelle manière de faire de l’histoire : l’histoire en ligne.</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><b><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">(Cohen & Rosenzweig, <i>Digital History</i>, </span><span lang="EN-GB" style="text-decoration: none;">Chapter 6</span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">(Collecting History Online))</span></b></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Faire de l’histoire en ligne induit des thèmes principaux :</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">- Utilisation de l'Internet</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">pour recueillir des</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">informations, des faits</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">ou des évènements du passé (Pourquoi faire de l’histoire en ligne ?).</span><br />- <span class="hps">Mise en place de projets se prêtant à</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">cette nouvelle méthode de</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">construction d'une</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">archive</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">numérique (aussi grâce à de nombreux outils).</span><br />- <span class="hps">Volonté de développer l'interactivité</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">dans les sites internet afin</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">que les visiteurs puissent</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">apporter leur participation (leurs</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">souvenirs et</span><span class="longtext"></span><span class="hps">autres</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">documents historiques). La question aussi des acteurs de cette histoire en ligne.</span><br />- <span class="hps">On encourage les</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">gens</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">à participer et à faire de l'histoire</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">dans</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">ce nouveau média.</span><br />- <span class="hps">Évaluer et améliorer</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">la validité</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">et la valeur de</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">ces sujets (en réalisant des études qualitatives).</span><br />- Egalement recueillir plus facilement <span class="longtext">des images et des récits personnels avec le web. Cela peut être un outil précieux et peu coûteux pour atteindre les personnes dans le monde qui pourraient avoir des souvenirs ou des matériaux utiles pour un sujet historique.</span></div><div class="MsoNormal">Nécessité de collecter et conserver les sources avant qu’elles ne disparaissent.<span style="font-size: 14.0pt;"></span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span style="font-size: 14.0pt;">4)</span> <span style="font-size: 14.0pt;">Les technologies numériques ont des impacts sur les historiens et leur écriture de l’histoire</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><b><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">(Anderson, "</span><span lang="EN-GB" style="text-decoration: none;">Past Indiscretions: Digital Archives and Recombinant History</span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">," to appear in <i>Interactive Frictions,</i> ed. </span>Marsha Kinder & Tara McPherson (2009)).</b></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Les logiques narratives de la base de données et du moteur de recherche ont donné lieu à<br />deux mouvements divergents :</div><div class="MsoNormal" style="margin-left: 30.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1; tab-stops: list 30.0pt; text-indent: -18.0pt;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span>d’un côté une histoire « totale » autour de l’Encyclopédie et portée par des concepts d’épistémologie historique.</div><div class="MsoNormal" style="margin-left: 30.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1; tab-stops: list 30.0pt; text-indent: -18.0pt;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span>d’un autre côté la volonté d’exploiter le potentiel de la technologie numérique pour essayer de prendre en compte les visions du passé.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Les technologies de l'information numérique ont indéniablement changé la façon dont les données historiques sont saisies, traitées et diffusées.</div><div class="MsoNormal">Les bases de données et les moteurs de recherche sont les principaux mécanismes d'organisation et de diffusion de l'information dans les réseaux numériques.</div><div class="MsoNormal">Les technologies numériques ont permis une recombinaison dans la construction historique.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps"><u><span style="text-decoration: none;"></span></u></span><span class="hps"><u>Histoire numérique</u></span> </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Comme</span> <span class="hps">l'émergence</span><span class="hps">de l'appareil</span> <span class="hps">photographique qui</span> <span class="hps">modifie au</span> <span class="hps">19</span> <span class="hps">ème siècle les</span><span class="hps"> perceptions</span> <span class="hps">du monde</span>, <span class="hps">les outils numériques</span> <span class="hps">de plus en plus</span> <span class="hps">puissants</span> <span class="hps">pour</span> <span class="hps">stocker et récupérer des</span> <span class="hps">informations historiques</span> <span class="hps">influent</span> <span class="hps">maintenant</span> <span class="hps">la façon dont le</span> <span class="hps">passé</span> <span class="hps">est conçu</span><span class="hps">et</span> <span class="hps">reconstruit. </span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">La portée mondiale</span> <span class="hps">et la capacité</span> <span class="hps">pratiquement illimitée</span> <span class="hps">de l'Internet</span> <span class="hps">a inspiré</span> <span class="hps">les universités, les</span> <span class="hps">bibliothèques et les archives</span> <span class="hps">pour se positionner</span> <span class="hps">en tant que distributeurs</span> plutôt que <span class="hps">simplement</span> <span class="hps">conservateurs de</span> <span class="hps">l'information</span>. <span class="hps">En conséquence</span>, <span class="hps">les ressources institutionnelles</span> <span class="hps">sont</span> <span class="hps">de plus en plus</span> <span class="hps">dirigé</span> <span class="hps">vers</span> <span class="hps">la numérisation</span> <span class="hps">et à l'organisation</span> <span class="hps">de l'information</span> <span class="hps">historique</span> <span class="hps">dans</span> <span class="hps">les bases de données</span> <span class="hps">qui sont accessibles via</span> <span class="hps">les réseaux</span> <span class="hps">informatiques publics</span> <span class="hps">et propriétaires.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Avec l'incorporation</span> <span class="hps">de</span><span class="hps">visuels</span> <span class="hpsatn">(</span>film, vidéo, <span class="hps">télévisées</span>) <span class="hps">historiques</span> <span class="hps">dans</span> <span class="hps">les programmes universitaires</span>, les historiens <span class="hps">ont commencé à reconnaître</span> <span class="hps">la puissance de</span> <span class="hps">la représentation cinématographique. La reconstruction historique dans les films.</span></div><div class="MsoNormal">En termes pratiques, les implications de la technologie numérique pour l'archivage ont surtout porté sur les questions techniques et la meilleure façon de conserver ainsi que de diffuser des informations historiques en utilisant les réseaux en pleine expansion. Des débats importants ont émergé autour des questions de propriété intellectuelle et le contrôle des images d’archives (films, enregistrements vidéo et sonores). Surveillance par des sociétés (Fondation Long Now : conservation de la culture numérique, Fondation Electronic Frontiers : promeut la liberté d'expression dans le domaine numérique).</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><u><span style="text-decoration: none;"></span></u><u>Archives totales, histoire et mémoire</u> </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Les histoires numériques changent la perception du rôle de l’historien. L'historien de l'ère moderne est souvent caractérisé comme un détective ou un esprit professionnel formé pour rechercher et juger de l'authenticité des preuves historiques, des objets et des témoignages.</div><span style="background-color: white;"><span class="longtext"><span style="background-attachment: scroll; background-clip: border-box; background-image: none; background-origin: padding-box; background-position: 0% 0%; background-repeat: repeat; background-size: auto auto;"></span></span></span><div class="MsoNormal"><span style="background-color: #fce5cd;"><span class="longtext"><span style="background-attachment: scroll; background-clip: border-box; background-image: none; background-origin: padding-box; background-position: 0% 0%; background-repeat: repeat; background-size: auto auto;">Mais il doit quand même maintenant composer avec la construction de bases de données, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>l'accumulation d'énormes volumes d'événements historiques, des faits et des images. </span></span></span></div><div class="MsoNormal"><span style="background-color: #fce5cd;"><span class="longtext"><span style="background-attachment: scroll; background-clip: border-box; background-image: none; background-origin: padding-box; background-position: 0% 0%; background-repeat: repeat; background-size: auto auto;">La question de l’histoire dans les films. Enregistrements vidéo avec des témoins accessibles (histoire orale, documentaire). Interrogation sur le rôle de la mémoire.</span> </span></span></div><div class="MsoNormal"><span style="background-color: #fce5cd;"><span class="longtext">La responsabilité de prévenir l'effacement, l'oubli ou le déni de l'histoire.</span><span class="hps"> </span></span></div><div class="MsoNormal"><span style="background-color: white;"><span style="color: #444444;"><span style="background-color: #fce5cd;"><span style="color: black;"><span class="hps">C'est dans</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">l'interaction</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">active entre</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">mémoire et oubli</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">(ce qu’Andreas</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">Huyssen</span><span class="longtext"> a </span><span class="hpsatn">appelé «</span><span class="longtext">oubli </span><span class="hps">créatrice»</span><span class="longtext">) </span><span class="hps">que le sens</span><span class="longtext"></span><span class="hps">historique</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">est construit.</span></span></span><span class="longtext"><span style="background-attachment: scroll; background-clip: border-box; background-image: none; background-origin: padding-box; background-position: 0% 0%; background-repeat: repeat; background-size: auto auto;"></span></span></span></span></div><br /> <br /> <br /><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span style="font-size: 14.0pt;"> </span><span style="font-size: 14.0pt;"></span><span style="font-size: 14.0pt;">5)</span> <span style="font-size: 14.0pt;">Différentes études et exemples liés à la numérisation et à la conservation.</span> </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">- <b>(Lyman & Varian, "</b></span><b><span lang="EN-GB" style="text-decoration: none;">How Much Information? 2009 Report on American Consumers</span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;"><span style="color: #0000ef;"><span style="font-family: Georgia;">, </span></span>UCSD: Global Information Industry Center, pp. 8-14).</span></b></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Une analyse quantitative, précise et poussée de la consommation d’énergie numérique aux Etats-Unis en 2008 avec un principe d’estimation et d’extrapolation.</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Quelle quantité d'informations</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">a été consommée</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">par des personnes</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">aux États-Unis</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">en 2008</span><span class="longtext">? </span><span class="hps">Les</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">statistiques comprennent des informations</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">consommées</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">à la maison</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">comme à l'extérieur</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">de la maison</span><span class="longtext"></span><span class="hps">avec des motifs</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">d'aller au cinéma</span><span class="longtext">, </span><span class="hps">écouter la radio</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">dans la voiture</span><span class="longtext">, </span><span class="hps">ou</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">de parler sur un</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">téléphone portable</span><span class="longtext">. </span><span class="hps">Il</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">ne comprend</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">pas d'informations</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">consommées par des personnes</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">en milieu de travail</span><span class="longtext">. </span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Quelques conclusions pour les Etats-Unis sur l’utilisation de l’information numérique ces 30 dernières années (depuis l’apparition du premier ordinateur en 1981) :</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">- Les Américains passent une énorme quantité de</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">temps</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">à la</span> <span class="hps">maison</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">à recevoir des informations numériques</span><span class="longtext"> (</span><span class="hps">moyenne</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">de</span> <span class="hps">11,8 heures</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">par jour</span><span class="longtext">).</span><br /><br />- Les <span class="hps">octets d'informations</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">consommées par</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">les américains ont augmenté de 5,4 %</span><span class="hps"> chaque année</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">depuis 1980</span><span class="longtext"> (beaucoup moins que </span><span class="hps">la croissance du</span> <span class="hps">taux</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">de la technologie informatique).</span><br /><br />- <span class="hps">Environ</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">3,6</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">zettabytes</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">(ou</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">3600</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">exaoctets</span><span class="longtext">)</span><span class="hps">d’informations</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">consommées</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">dans</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">les maisons américaines en 2008.</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">Les Américains passent 41 %</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">de leur temps</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">(consacré à l'information numérique)</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">à regarder la télévision</span><span class="longtext">. Mais cela représente moins de 35 % des octets d’information.</span><br style="mso-special-character: line-break;" /><br style="mso-special-character: line-break;" /></div><div class="MsoNormal">- Les <span class="hps">jeux</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">informatiques</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">et vidéo</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">représentent 55</span><span class="hps">% de</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">tous les octets</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">d'information</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">consommés</span> <span class="hps">à la maison</span><span class="longtext">, </span><span class="hps">parce que</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">les consoles de jeux</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">modernes</span> <span class="hps">et</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">PC</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">de créer d'énormes</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">flux de</span><span class="longtext"> </span><span class="hps">graphiques.</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Ils écoutent aussi la radio.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="hps">Cette étude montre bien l’importance et l’ampleur de la consommation de technologies numérique en général à travers cette étude aux Etats-Unis.</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="hps"> </span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;"> </span></div><div class="MsoNormal"><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">- <b>(Wilkinson, "</b></span><b><span lang="EN-GB" style="text-decoration: none;">Remember This? A Project to Record Everything We Do in Life</span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">," <i>The New Yorker</i> (28 May 2007)).</span></b> </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Gordon Bell veut numériser et conserver ses archives avec l’aide de collaborateurs.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Les archives de Bell contiennent cent vingt-deux mille e-mails, 58 000 photographies, des milliers d'enregistrements d'appels téléphoniques qu'il a faites, chaque page Web qu’il a visité. Il a aussi conservé depuis 2003 toute l'activité de son bureau (par exemple les fenêtres qu’il a ouvert), huit cents pages de dossiers de santé<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>(y compris des informations sur la vie de la batterie dans son stimulateur cardiaque), les livres qu'il a écrits ou ceux de sa bibliothèque, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>les étiquettes de bouteilles de vin dont il a joui ou encore l'enregistrement d'un voyage à vélo à travers la Bourgogne.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Bell est un ancien ingénieur puis chercheur pour Microsoft à San Franscisco. </span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Les archives de Bell comportent deux sections : une partie historique et une partie contemporaine.</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Bell se rend compte qu’il faut ajouter des matériaux contemporains à ses archives (images SenseCam).</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Question du partage de ses archives personnelles.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Dans l'article que Bell a écrit en 2001 pour annoncer qu'il avait terminé la première partie de ses archives, il est dit que l'obsolescence des logiciels et de la technologie était une menace pour une archive de l'ordinateur</span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span lang="EN-GB" style="font-family: Georgia; mso-ansi-language: EN-GB; mso-bidi-font-family: Georgia;">- <b>(Daniel H. Pink, "</b></span><b><span style="font-family: Georgia; mso-bidi-font-family: Georgia;"><span lang="EN-GB" style="text-decoration: none;">Folksonomy</span></span><span lang="EN-GB" style="font-family: Georgia; mso-ansi-language: EN-GB; mso-bidi-font-family: Georgia;">," New York Times (December 11, 2005)).</span></b></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">En 1876, Melvil Dewey a élaboré une méthode élégante pour classer les livres du monde. Le système décimal Dewey divise les livres en 10 grandes disciplines, en plusieurs centaines de sous-zones et attribue ainsi à chaque volume un nombre précis.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">Mais sur Internet, une nouvelle approche de la catégorisation est en train d'émerger. Thomas Vander Wal, un architecte de l'information et développeur Internet, a surnommé folksonomie le principe de taxonomie. </span><br /><span class="longtext">Une folksonomie commence avec un marquage qui permet de catégoriser.</span></div><div class="MsoNormal"><span class="longtext">La force cumulée de toutes les balises individuelles permet de produire un système auto-organisé pour la classification des matériels numériques.</span><span style="font-family: Georgia; mso-bidi-font-family: Georgia;"></span></div><div class="MsoNormal">C’est un principe où tout le monde peut participer sans être spécialiste. </div><div class="MsoNormal">Cette folksonomie peut s’appliquer à différents domaines comme les catalogues de musées ou le classement des livres dans les sites (exemple Amazon).</div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-66368421847011187342013-11-25T13:52:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.260-07:00Mise en pratique 2. La machine à remonter le temps, recherche numérique de livres<!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--><br /><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]--><u><span style="font-size: 14.0pt;">Les sept livres choisis pour la recherche :</span></u><br /><div class="MsoNormal" style="text-indent: 35.4pt;"><br /></div><div class="MsoNormal"><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">1) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Afterwards</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">and</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">other stories</i> de Ian Maclaren: </span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;"><a href="https://archive.org/details/afterwardsandoth00macliala">-->https://archive.org/details/afterwardsandoth00macliala ;</a> </span><br /><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;"><a href="http://www.gutenberg.org/files/43192/43192-h/43192-h.htm">--> http://www.gutenberg.org/files/43192/43192-h/43192-h.htm.</a></span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">2) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A Double Thread </i>de Ellen Thorneycroft Fowler: </span><span lang="EN-GB" style="font-family: Wingdings; mso-ansi-language: EN-GB; mso-ascii-font-family: "Times New Roman"; mso-char-type: symbol; mso-hansi-font-family: "Times New Roman"; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;"><a href="https://archive.org/details/adoublethread00fowlgoog">https://archive.org/details/adoublethread00fowlgoog.</a></span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">3) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The eye of a God and other Tales East and</i><i style="mso-bidi-font-style: normal;">West</i> de William Alexander Fraser: </span><span lang="EN-GB" style="font-family: Wingdings; mso-ansi-language: EN-GB; mso-ascii-font-family: "Times New Roman"; mso-char-type: symbol; mso-hansi-font-family: "Times New Roman"; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;"><a href="https://archive.org/details/eyeagodandother00frasgoog">-->https://archive.org/details/eyeagodandother00frasgoog.</a></span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">4) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Barriers Burned Away </i>de<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>Edward Payson Roe: </span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;"><a href="https://archive.org/details/barriersburned00roeeiala">-->https://archive.org/details/barriersburned00roeeiala ;</a></span></div><div class="MsoNormal"><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;"><a href="https://archive.org/details/barriersburnedaw00roeerich">-->https://archive.org/details/barriersburnedaw00roeerich</a> ; </span><br /><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">--> <a href="http://www.gutenberg.org/cache/epub/6627/pg6627.html">http://www.gutenberg.org/cache/epub/6627/pg6627.html ;</a></span></div><div class="MsoNormal">--> <a href="http://www.booksshouldbefree.com/book/Barriers-Burned-Away-by-Edward-Payson-Roe">http://www.booksshouldbefree.com/book/Barriers-Burned-Away-by-Edward-Payson-Roe</a></div><div class="MsoNormal"><br /><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">5) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">My Lady Barefoot</i> d’Evelyn Raymond: </span></div><div class="MsoNormal">(de nombreux livres de cet auteur sont en ligne mais pas cet ouvrage.) -->Pas de version numérique trouvée.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">6) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Three Deserters</i> de Michael T. H. Perelaer:</span> -->Pas de version numérique trouvée.</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">7) Doing and Dreaming </span></i><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;">de Edward Garrett: --></span><span lang="EN-GB" style="font-family: Wingdings; mso-ansi-language: EN-GB; mso-ascii-font-family: "Times New Roman"; mso-char-type: symbol; mso-hansi-font-family: "Times New Roman"; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span lang="EN-GB" style="mso-ansi-language: EN-GB;"><a href="https://archive.org/details/doinganddreamin00mayogoog">https://archive.org/details/doinganddreamin00mayogoog.</a></span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">A part pour quelques exceptions près, le site archives.org est très utile pour rechercher la version numérique de certains livres. En effet, lorsque que l’ouvrage est disponible, le site met à disposition des liens vers une lecture en ligne ou encore une lecture PDF (également de nombreuses autres modes de lectures disponibles) pour pouvoir les consulter de manière numérique. Je suis donc parvenu à trouver avec ce site la version numérique de la plupart des livres sauf 2 (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">My Lady Barefoot</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Three Deserters</i>). Certains livres ayant même plusieurs versions numérisées jusqu’à parfois environ 6-7 versions différentes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Barriers Burned Away</i>).</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Lorsque l’on recherche ces livres par Google books, on trouve la couverture ainsi que la description du livre, ses références mais l’accès à la version numérique n’est pas disponible donc pas possible d’y accéder. J’ai été confronté à ce cas de figure pour tous les livres que j’avais choisi, c'est-à-dire pas de version numérique disponible par Google books.</div><div class="MsoNormal">Pour le cas du site du Projet Gutenberg, on peut dire que c’est un peu le même principe qu'archives.org. En effet on rentre le titre du livre et si ce dernier est disponible, on a accès à la version numérique sous différentes formes de lecture.</div><div class="MsoNormal">Pour ma part, ma recherche sur ce site a été beaucoup moins fructueuse car je ne suis parvenu à trouver que seulement deux livres sur les sept. Alors que qu’avec archives.org, j’étais parvenu à avoir accès à cinq d’entres eux. </div><div class="MsoNormal">En revanche, deux des sept livres que j’ai choisis ne sont ni trouvable sur le site du projet Gutenberg ni sur le site d'archives.org version numérique.</div><div class="MsoNormal">Je les ai trouvés sur le net (notamment ses références) et sur des sites d’achats mais pas de versions numériques consultables gratuitement. <br /><br />Je savais déjà que l'on pouvait utiliser Google books pour trouver certaines numérisations de livres. Cependant, souvent sur ce site soit on n'a pas accès à une version numérique complète du livre (que des extraits, certaines pages) soit pas de version numérique du tout pour un livre.<br />Pour ce qui est d'archives.org, je connaissais ce site mais je ne l'avais jamais utilisé pour accéder à des livres numérisés. Je l'ai trouvé très simple d’utilisation avec beaucoup de livres disponibles.<br />Par contre, j'ai découvert le projet Gutenberg qui est un site assez proche d'archives.org avec quelques petites différences. J'ai eu plus de mal à trouver mes livres sur ce site, c'est pourquoi archives.org m'a plus plu même si il reste quand même très utile. <br />D'autres sites permettent d'avoir accès gratuitement à des livres numérisés comme Gallica.bnf.fr, ebooksgratuits.org, booksshouldbefree.com mais on trouve également des sites où l'on doit payer la version numérique comme numilog.com, le site de la Fnac ou encore d'autres...</div><div class="MsoNormal"><br />Avant cette recherche, je ne pensais pas que tant de sites proposaient des versions numériques de livres intégrales connaissant plutôt Google books qui fournie rarement l'intégralité des livres.<br />J'ai aussi été étonné que toutes ces reproductions numériques soit en accès gratuit et non payant.<br />Bien sur les livres recherchés sont assez anciens donc plus facilement en accès gratuit que d'autres livres plus récents même si il pouvait y avoir le risque de ne pas les trouver car trop anciens et pas assez connus.<br />Ce qui est peut être le cas pour les deux livres que je n'ai pas réussis à trouver du tout en version numérique (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">My Lady Barefoot</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Three Deserters</i>).</div><div class="MsoNormal"><br /><br /><br /></div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-54629695151374778792013-11-22T08:52:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.276-07:00Mission 2 : A la recherche de l'ouvrage perdu (ou pas)Liste d'ouvrages choisis au hasard avec les liens vers leur version numérique :<br /><br /><div style="text-align: left;">1) Black Rock (Ralph Connor) : <a href="http://www.gutenberg.org/files/3245/3245-h/3245-h.htm">http://www.gutenberg.org/files/3245/3245-h/3245-h.htm</a></div><div style="text-align: left;">2) The Butterfly Book (W.J. Holland) : <a href="http://www.gutenberg.org/files/41279/41279-h/41279-h.htm">http://www.gutenberg.org/files/41279/41279-h/41279-h.htm</a></div><div style="text-align: left;">3) A Man's Value to Society (N. Dwight Hillis) : <a href="http://www.gutenberg.org/files/28875/28875-h/28875-h.htm">http://www.gutenberg.org/files/28875/28875-h/28875-h.htm</a></div><div style="text-align: left;">4) Seven Seas (Rudyard Kipling) : <a href="http://www.gutenberg.org/files/27870/27870-h/27870-h.htm">http://www.gutenberg.org/files/27870/27870-h/27870-h.htm</a> ; <a href="http://www.booksshouldbefree.com/book/Seven-Seas-by-Rudyard-Kipling">http://www.booksshouldbefree.com/book/Seven-Seas-by-Rudyard-Kipling</a> ; <a href="http://ebooks.adelaide.edu.au/k/kipling/rudyard/seven/">http://ebooks.adelaide.edu.au/k/kipling/rudyard/seven/</a></div><div style="text-align: left;">5) The Ideal Life (Prof. Henry Drummond) : <a href="http://onlinebooks.library.upenn.edu/webbin/book/lookupname?key=Drummond%2C%20Henry%2C%201851-1897">http://onlinebooks.library.upenn.edu/webbin/book/lookupname?key=Drummond%2C%20Henry%2C%201851-1897</a></div><div style="text-align: left;">6) Jesus Himself (Rev. Andrew Murray) : <a href="http://www.gutenberg.org/files/26003/26003-h/26003-h.htm">http://www.gutenberg.org/files/26003/26003-h/26003-h.htm</a></div><div style="text-align: left;">7) The Transmission of Life (Dr. Napheys) : <a href="http://www.unz.org/Pub/NapheysGeorge-1871">http://www.unz.org/Pub/NapheysGeorge-1871</a></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Grâce à cette mission, j'ai découvert le projet Gutenberg. Je connaissais notamment celui de l'Université du Québec qui a numérisé un grand nombre de classiques des sciences humaines et sociales (<a href="http://classiques.uqac.ca/">http://classiques.uqac.ca/</a>) mais pas le "Project Gutenberg".</div><div style="text-align: justify;">Lorsque j'ai entré le nom des ouvrages et de leurs auteurs dans plusieurs cas, le lien vers l'e-book du projet Gutenberg est apparu dans les premiers résultats de recherche, bien avant celui vers Google Books par exemple. Par ailleurs pour les ouvrages 2, 3, 5 et 6 les références sont répertoriées dans Google Books mais aucun aperçu n'est disponible.</div><div style="text-align: justify;">Sans grande surprise, pour des auteurs plus connus tels que Kipling, de nombreux sites proposent des versions numériques.</div><div style="text-align: justify;">Le dernier ouvrage a été le plus difficile à trouver en version numérique.</div><div style="text-align: justify;">En réalisant cet exercice, j'ai été surprise de constater à quel point des ouvrages que j'imaginais ayant peu de chances d'être accessibles sont à ce point faciles et rapides à retrouver. Je ne pensais pas qu'un effort de numérisation totale (et non partielle comme Google Books) aussi important avait pu être réalisé pour des ouvrages de publication peu récente et qui ne constituent pas forcément de "grands classiques" de la littérature. D'un autre côté, c'est justement leur ancienneté qui explique peut-être l'absence de certaines barrières encore importantes pour la mise en ligne d'autres ouvrages.</div><div style="text-align: justify;">Encore une fois, on constate les vertus du web et surtout de ces entreprises de numérisation et de partage par l'accessibilité qu'elles nous donnent vis-à-vis d'ouvrages dont certains seraient sans doute assez difficiles à débusquer dans une bibliothèque.</div><br />Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-33350263373291960862013-11-21T03:10:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.302-07:00Le tournant de la « Digital history » : quels bouleversements et implications pour l’historien ?<style><!-- /* Font Definitions */ @font-face {font-family:宋体; panose-1:0 0 0 0 0 0 0 0 0 0; mso-font-charset:134; mso-generic-font-family:auto; mso-font-format:other; mso-font-pitch:variable; mso-font-signature:1 135135232 16 0 262144 0;} @font-face {font-family:宋体; panose-1:0 0 0 0 0 0 0 0 0 0; mso-font-charset:134; mso-generic-font-family:auto; mso-font-format:other; mso-font-pitch:variable; mso-font-signature:1 135135232 16 0 262144 0;} @font-face {font-family:"Lucida Sans"; panose-1:2 11 6 2 3 5 4 2 2 4; mso-font-charset:0; mso-generic-font-family:auto; mso-font-pitch:variable; mso-font-signature:3 0 0 0 1 0;} /* Style Definitions */ p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal {mso-style-unhide:no; mso-style-qformat:yes; mso-style-parent:""; margin:0cm; margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:12.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-fareast-font-family:宋体; mso-bidi-font-family:"Lucida Sans"; mso-font-kerning:12.0pt;} p.MsoListParagraph, li.MsoListParagraph, div.MsoListParagraph {mso-style-priority:34; mso-style-unhide:no; mso-style-qformat:yes; margin-top:0cm; margin-right:0cm; margin-bottom:0cm; margin-left:36.0pt; margin-bottom:.0001pt; mso-add-space:auto; mso-pagination:widow-orphan; font-size:12.0pt; font-family:"Times New Roman"; 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D’où son <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">caractère incontournable</b> dans la conception et la pratique des sciences et notamment de l'histoire. Son omniprésence force le chercheur à s’interroger sur des concepts épistémologiques, théoriques et heuristiques liés à sa discipline. </div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">Elle l’amène aussi à questionner <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">la place et le statut</b> que cette nouvelle forme d’histoire occupe : est-ce une discipline à part entière, une méthode, un « medium », un « genre » ? La question n’est pas facile à trancher puisqu’on se trouve face à un <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">phénomène transversal</b>à tous les champs historiques.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">Prenant un certain recul par rapport à ce débat, Michael Frisch estime que le terme de « digital history » paraîtra sans doute, dans un futur assez proche, relativement désuet étant donné que le numérique ne pourra plus être laissé de côté par les historiens. Le processus prendra peut-être un certain temps mais l’incorporation du numérique dans les méthodes, les moyens de communication et de diffusion de la recherche semble inéluctable. </div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span class="content"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">D’où le <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">problème du retard</b> souligné à plusieurs reprises dans les lectures.</span></span>Le numérique pourrait être comparé à un train en mouvement continu. Plus on prend le train en marche tard, plus on doit rattraper de wagons dans son apprentissage. C’est pourquoi, on insiste sur une forme d’<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">urgence pédagogique</b> à former davantage les étudiants à la pratique et à la réflexion autour de ces nouvelles pratiques.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoListParagraph" style="mso-list: l0 level1 lfo1; text-align: justify; text-indent: -18.0pt; text-justify: inter-ideograph;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";"><span style="mso-list: Ignore;">2)<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span></b><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Une révolution dans la pratique du métier d’historien </b></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">Plus qu’une méthode qui viendrait s’agréger à la pratique existante du métier d’historien, le numérique révolutionne les fondements et l’essence même du travail de recherche. Ces bouleversements peuvent se lire à cinq niveaux différents, tous constitutifs de la pratique historique :</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">1) <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Une matière première accessible et démultipliée</b>. Grâce au numérique, découverte de nouvelles sources par un foisonnement et des recoupements inédits et impossibles à faire sans ses outils.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">2) <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Une analyse « active »</b>. Changement dans la lecture et le traitement de l’information historique. <span class="content"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">Le chercheur ne se trouve plus dans une attitude passive de lecture d’un article déjà rédigé et indiquant les sources et références auxquelles il doit se reporter. Il est désormais face à des éléments d’interprétation (données quantitatives, visuelles ou textuelles etc.) et peut les agencer lui-même pour gagner en efficacité dans ses propres recherches. </span></span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span class="content"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">3) <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Une écriture historique interactive</b>. Loin d’une argumentation linéaire, le numérique permet une écriture plus souple avec la possibilité de vérifier et d’examiner un contenu plus facilement que dans les supports traditionnels. Il s’agit aussi d’une écriture interactive permettant de tester les interprétations des autres et de formuler d’autres hypothèses. </span></span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">4) <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Une communication multidimensionnelle</b>. Possible à tous les stades de son travail, de la recherche de sources à la publication en passant par le temps de l’analyse et de l’écriture. Possible par différents types d’outils (réseaux sociaux, blogs, bases de données numériques etc.).</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">5) <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Redéfinition des rôles dans la transmission du savoir</b>. Idée que l’élève ou plus généralement le lecteur peut être aussi intégré au processus de recherche où il se trouve davantage mobilisé. On insiste également sur la fin d’une certaine médiation. Le lecteur expérimente un accès direct à la connaissance et une forme d’immersion dans le passé où le rôle intermédiaire du chercheur n’est plus indispensable.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoListParagraph" style="mso-list: l0 level1 lfo1; text-align: justify; text-indent: -18.0pt; text-justify: inter-ideograph;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";"><span style="mso-list: Ignore;">3)<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span></b><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Défis et questionnements critiques</b></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Premier défi : Le désenclavement et la démocratisation de l’histoire</b></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">La question est notamment de savoir si les technologies numériques vont faire disparaître les pratiques spécialistes pour finalement conduire à une vulgarisation généralisée ou alors si au contraire elles permettront un meilleur accès et une meilleure production des connaissances. On pense en particulier au défi lancé au chercheur universitaire face à la multiplication d’historiens amateurs dont les activités de recherche peuvent être autant voire davantage visibles et donc lues. </div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">Le tout est de pouvoir définir ce qui les distingue et en quoi le chercheur universitaire peut justement tirer son épingle du jeu par la maîtrise des outils permettant de diffuser son travail, la visibilité n’impliquant pas une perte de rigueur scientifique mais plutôt sa valorisation même. De plus, les ponts et possibilités de collaboration étant démultipliés, plutôt qu’une concurrence, on peut surtout voir une forme de complémentarité entre spécialistes et amateurs.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Deuxième défi : La participation de l’historien au processus numérique</b></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">L’historien peut être un acteur du numérique et pas seulement regarder passivement les changements qui apparaissent sur la toile et s’insurger contre les inexactitudes que l’on peut<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>y trouver. Il doit s'emparer des outils du numérique de manière active. Plutôt que d’en critiquer les dérives de l’extérieur, il doit chercher comment en améliorer l’usage et le contenu de l’intérieur. Ce n’est qu'en adoptant cette démarche qu'il pourra développer une critique constructive s'appuyant sur les avantages mêmes offerts par le numérique. Par exemple, on peut corriger des erreurs sur un wiki instantanément alors que pour des ouvrages en version papier, il faudra attendre une nouvelle édition.</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span class="content"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">Troisième défi : Légitimité institutionnelle et fiabilité des ressources</span></b></span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">Si les avantages offerts par la publication numérique semblent indiscutables, on peut se poser la question de la reconnaissance institutionnelle <span class="content"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">car dans les milieux universitaires, elle ne semble pas encore constituer un critère d’évaluation équivalent à la publication traditionnelle.</span></span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">Est-ce qu’une publication uniquement en ligne et en dehors des canaux "officiels" a aujourd’hui la même valeur scientifique (aux yeux de ses pairs) qu’un article publié dans une revue spécialisée ? N’y a-t-il pas encore une forme de suspicion à l’égard de certaines publications numériques (ex des billets de blog) ?</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">Autre question qui explique peut-être en partie cette suspicion : quelle fiabilité sachant l’instabilité de certaines ressources ou de certains outils ?</div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span class="content"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">Quatrième défi : Quel type de récit historique ?</span></b></span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span class="content"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">Du fait des publications polymorphes permises par le numérique, on observe une remise en cause de la centralité de la monographie dans la carrière universitaire. Sans renier son importance, on souhaite la voir davantage coexister avec d’autres types d’activités<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>interactives permettant notamment l’intégration des commentaires du lecteur dans le processus d’écriture.</span></span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span class="content"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">Mais ce type d’écriture n’entraîne-t-il pas aussi une forme d’instabilité dans l’analyse qui en vient à être sans cesse renouvelée et remise en cause ? Cela renvoie également à la notion d'auteur avec une paternité de l'écriture de plus en plus floue.</span></span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><br /></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span class="content"><span style="mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman";">Même chose concernant la critique du récit chronologique ou thématique, des analyses linéaires et didactiques. Que se cache-t-il concrètement derrière les promesses d’une problématisation irrésolue, d’une expérience sans médiation dans un espace créatif imprévisible ? Sur quelles bases et sur quel modèle construire alors un récit historique ? Comment l’historien peut-il communiquer et transmettre un savoir en mouvement perpétuel ?</span></span></div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-52402136709961059942013-10-28T09:24:00.000-07:002015-07-30T02:14:05.319-07:00Mise en pratique 1-Rapport méthodologique : les logiciels de partage et d’annotations sur le web, première utilisation de Delicious.<!--[if !mso]><style>v\:* {behavior:url(#default#VML);} o\:* {behavior:url(#default#VML);} w\:* {behavior:url(#default#VML);} .shape {behavior:url(#default#VML);} </style><![endif]--><br /><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]--> <br /><div class="MsoNormal">Bonjour à tous, je viens d’explorer rapidement les différents logiciels proposés pour le partage de documents et les annotations sur le web. Suite à cette exploration, j’ai décidé de me concentrer sur le logiciel qui a attiré mon attention qui est Delicious.</div><div class="MsoNormal">Tout d’abord, pour commencer à utiliser ce logiciel, il faut se créer un compte de la même manière par exemple que Zotero mais aussi que tous les autres logiciels proposés. On peut créer un compte avec Twitter, Facebook, Google ou encore par son adresse mail. Possibilité aussi d’installer cette application sur un Smartphone.</div><div class="MsoNormal" style="tab-stops: 87.0pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></div><div class="MsoNormal"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><u><span style="font-size: 14.0pt;">Mise en avant du principe et des objectifs de ce logiciel. Qu’est ce exactement Delicious ?</span></u></b></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">C’est d’abord un site collaboratif de partage de signets.</div><div class="MsoNormal">Delicious est donc principalement un service gratuit dans le but de sauvegarder puis de partager des liens (grâce à son URL), des marque-pages internet qui nous intéressent sur le web et que l’on veut facilement retrouver. Ce site existe depuis 2003 mais est véritablement relancé à partir de 2011 suite a un rachat.</div><div class="MsoNormal">Il offre également <span class="hps">la possibilité de</span> <span class="hps">constituer une collection</span> <span class="hps">de liens et à créer</span><span class="hps">son</span> <span class="hps">propre</span> <span class="hps">moteur de recherche</span> <span class="hps">personnel.</span> L’organisation des liens permet de les trouver rapidement lors d’une recherche. </div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><u><span style="font-size: 14.0pt;">Comment le site se présente-t-il ??</span></u></b></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Voici une capture d’écran de la page principal du logiciel Delicious :</div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-fDAFxw5ovaI/Um6OeW2SfXI/AAAAAAAAABc/AXfbV1dOhBw/s1600/Capture+d%27ecran+de+delicious.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="237" src="http://4.bp.blogspot.com/-fDAFxw5ovaI/Um6OeW2SfXI/AAAAAAAAABc/AXfbV1dOhBw/s400/Capture+d%27ecran+de+delicious.jpg" width="400" /></a></div><br /> <div class="MsoNormal"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--><br /><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]--><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><u><span style="font-size: 14.0pt;">Principales fonctionnalités :</span></u></b> <br /><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">Sur cette page principale, on peut visualiser les liens que l’ont a ajouté grâce à la touche « Add Link » à gauche. On peut voir la date et l’heure de l’ajout du lien ainsi que le nombre de personne ayant ajouté le lien.</div><div class="MsoNormal">On peut commenter les liens, les tagger mais également bien sur les partager (sur Twitter, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Facebook, Google ou encore par Email).</div><div class="MsoNormal">Dans les réglages « settings », on modifie son profile pour éventuellement être suivi par d’autres utilisateurs mais également les suivre. Lorsque l’on est suivi par un utilisateur, il voit nos liens publics mais n’a pas accès à nos liens privés ce qui est pareil lorsque l’on suit un utilisateur. </div><div class="MsoNormal">L’outil de recherche « search » en haut à gauche est utile pour rechercher des liens que l’ont a ajouté et que l’on veut retrouver mais également pour trouver des liens intéressant à ajouter (par catégorie, mots clés).</div><div class="MsoNormal">L’onglet « Network » à gauche grâce auquel il est possible de rechercher des utilisateurs intéressants à suivre ou alors directement des connaissances, des amis.</div><div class="MsoNormal">Finalement, l’onglet « Discover », permet de visualiser une liste de liens qui sont ajoutés récemment par des utilisateurs voir des liens qui sont le plus ajoutés.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal"><br /></div><div class="MsoNormal">On peut donc dire que ce logiciel est très utile dans une recherche dans la mesure où l’on peut ajouter des liens à sa base de données, y joindre des tags mais également un commentaire pour les classer dans des catégories et les retrouver plus facilement par la suite. On peut partager ses liens avec d’autres utilisateurs (amis…) mais également suivre les liens d’autres utilisateurs. Possibilité également de rechercher des liens intéressants à l’aide de mots clés précis.</div><div class="MsoNormal">Cependant je trouve que ce site reste assez limité de part ses fonctionnalités car il ne permet pas contrairement à Zotero d’ajouter des références bibliographiques et de créer des dossiers dans lesquels y glisser ses liens. Il n’est également pas possible d’ajouter directement le lien lorsque l’on est sur le site web grâce à un icône comme on peut le faire avec Zotero. Il est aussi impossible de modifier le lien en lui-même directement, on l’ajoute et on le sauvegarde tel quel. </div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-56638188498305496082013-10-27T09:39:00.000-07:002015-07-30T02:14:05.334-07:00Mission 1 : Première utilisation de Diigo<div style="text-align: justify;">Une première utilisation de Diigo révèle un outil aux fonctionnalités très pratiques, notamment le fait de pouvoir surligner des passages de textes sur n'importe quelle page web qui seront référencés dans sa bibliothèque, ce que ne permet pas par exemple Zotero. On peut ajouter des notes à une référence bibliographique dans Zotero mais celles-ci ne sont pas directement liées à un paragraphe précis comme avec Diigo. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">L'enregistrement de pages peut également être réalisé avec Zotero mais le plus de Diigo c'est la conservation de l'historique des pages enregistrées qui peuvent avoir disparu par la suite. On pourra alors en revoir le contenu tandis que Zotero ne les affichera plus. Cette fonctionnalité est, de mon point de vue, l'une des plus intéressantes car les pages web disparaissent malheureusement aussi souvent qu'elles apparaissent et leur contenu avec. Diigo permettra de l'archiver et de le retrouver à tout moment. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Diigo offre également des possibilités de partage assez étendues et surtout très souples puisqu'on peut choisir les fichiers de sa bibliothèque que l'on souhaite partager, les autres resteront en accès privé.</div><br />Seul petit regret pour le moment, j'ai remarqué que le surlignage ne fonctionne pas correctement sur les documents pdf que l'on ouvre dans son navigateur. On ne parvient pas à surligner des phrases entières et les mots apparaissent en vrac dans la bibliothèque.Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5166580278884147313.post-1768423678956187482013-03-05T22:42:00.000-08:002015-07-30T02:14:05.348-07:00Billet d'AKQ<!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> <w:DontGrowAutofit/> <w:UseFELayout/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--><br /><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-fareast-font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style><![endif]--> <br /><div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 12.0pt; mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;"><span style="font-family: Times-Roman; mso-bidi-font-family: Times-Roman;">Bienvenue sur le blog du séminaire! Nous nous servirons abondamment de cet espace pour échanger, discuter, formuler des propositions, déposer des travaux, etc. Vous pouvez en faire un usage fréquent et ouvert (billets, commentaires, notes d'humeur, propositions, etc.).</span></div><div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 12.0pt; mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;"><span style="font-family: Times-Roman; mso-bidi-font-family: Times-Roman;">Cet espace est<i> a priori</i> limité aux membres du séminaire. Il est conçu comme un lieu de travail virtuel, même si son contenu est public. Ce blog est ouvert à des fins pédagogiques en lien avec le séminaire. Même si vous avez de grandes idées sur l'univers ou la meilleure recette de caviar d'aubergine, merci de réserver cela à VOTRE blog.</span></div><div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 12.0pt; mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;"><span style="font-family: Times-Roman; mso-bidi-font-family: Times-Roman;">N'oubliez pas de créer un fil RSS ou une alarme (Google reader, Yahoo pipe, etc.) pour vous tenir automatiquement informé/e des nouveaux "posts" sur le blog.</span></div>Christian Henriothttp://www.blogger.com/profile/05659031971376507571noreply@blogger.com0